La victoire marocaine réécrit les règles du fair-play olympique :
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐛𝐫𝐢𝐭𝐚𝐧𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐃𝐚𝐢𝐥𝐲 𝐌𝐚𝐢𝐥 🇬🇧
Dans un événement sans précédent, un joueur égyptien, n'en pouvant plus, en est venu à implorer la clémence de l'arbitre pour qu'il mette fin à sa souffrance avant le coup de sifflet final. Une scène digne d'une tragédie grecque.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐚𝐥𝐥𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝 𝐌𝐢𝐫𝐢 𝐒𝐩𝐨𝐫𝐭 🇩🇪
L'histoire des Jeux Olympiques a été marquée par un fait inédit : un arbitre a décidé de terminer le match à la 89e minute sur la demande désespérée d'un joueur égyptien. Pas de temps additionnel, simplement par compassion pour une équipe en perdition.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐞𝐬𝐩𝐚𝐠𝐧𝐨𝐥 𝐌𝐚𝐫𝐜𝐚 🇪🇦
Les Espagnols ont échappé de justesse à une humiliation sans nom. Si le Maroc avait joué contre eux avec la même intensité qu'il a déployée contre l'Égypte, c'est l'équipe espagnole qui aurait subi la débâcle. Heureusement, la chance était de leur côté cette fois-ci.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐛𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐓𝐍𝐓 🇧🇷
Le Maroc aux Jeux Olympiques ? Une résurgence du Brésil 2002. Dominant les équipes arabes avec une telle supériorité qu'ils ont infligé un 6-0 historique à l'Égypte, au point que les joueurs adverses ont supplié l'arbitre de les épargner d'une humiliation supplémentaire.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐚𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭𝐢𝐧 𝐋𝐚𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚 𝐒𝐩𝐨𝐫𝐭 🇦🇷
L'équipe marocaine méritait sans conteste la médaille d'or. Comment a-t-elle pu être éliminée par l'Espagne ? Un mystère qui laisse perplexes même les observateurs les plus avisés.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐋'𝐄́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 🇫🇷
Les médaillés de bronze, l'équipe marocaine, ont écrit une nouvelle page d'histoire à Paris. Une performance qui transcende le sport et ancre le Maroc dans les annales olympiques.
𝐏𝐥𝐚𝐭𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐢𝐟𝐬 𝐚𝐥𝐠𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐨𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥𝐬 🇩🇿
L'Égypte, réduite à se contenter de la quatrième place.
Le nom du Maroc n’a été invoqué aucunement.
Mais contre qui l’Égypte a-t-elle joué ?
Quel était le score final ?
Qui a remporté la médaille de bronze ?
Un silence assourdissant digne d'une conférence de presse en Corée du Nord.
𝐋𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐞́𝐠𝐲𝐩𝐭𝐢𝐞𝐧𝐬 🇪🇬
Les commentaires se font mordants :
« Heureusement que leur Roi ne s’appelle pas Mohammed 10 »,
ou encore
« Les Marocains ne manquaient plus qu’ils fassent les prières des tarawih » !
Une ironie teintée de déception générale, mais toujours avec un esprit sportif.
𝑀𝑎𝑙𝑔𝑟𝑒́ 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟𝑠 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑢𝑚𝑜𝑢𝑟, 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑑𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́, 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟-𝑝𝑙𝑎𝑦 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑚𝑎𝑟𝑎𝑑𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑠.
Dans un événement sans précédent, un joueur égyptien, n'en pouvant plus, en est venu à implorer la clémence de l'arbitre pour qu'il mette fin à sa souffrance avant le coup de sifflet final. Une scène digne d'une tragédie grecque.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐚𝐥𝐥𝐞𝐦𝐚𝐧𝐝 𝐌𝐢𝐫𝐢 𝐒𝐩𝐨𝐫𝐭 🇩🇪
L'histoire des Jeux Olympiques a été marquée par un fait inédit : un arbitre a décidé de terminer le match à la 89e minute sur la demande désespérée d'un joueur égyptien. Pas de temps additionnel, simplement par compassion pour une équipe en perdition.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐞𝐬𝐩𝐚𝐠𝐧𝐨𝐥 𝐌𝐚𝐫𝐜𝐚 🇪🇦
Les Espagnols ont échappé de justesse à une humiliation sans nom. Si le Maroc avait joué contre eux avec la même intensité qu'il a déployée contre l'Égypte, c'est l'équipe espagnole qui aurait subi la débâcle. Heureusement, la chance était de leur côté cette fois-ci.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐛𝐫𝐞́𝐬𝐢𝐥𝐢𝐞𝐧 𝐓𝐍𝐓 🇧🇷
Le Maroc aux Jeux Olympiques ? Une résurgence du Brésil 2002. Dominant les équipes arabes avec une telle supériorité qu'ils ont infligé un 6-0 historique à l'Égypte, au point que les joueurs adverses ont supplié l'arbitre de les épargner d'une humiliation supplémentaire.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐚𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭𝐢𝐧 𝐋𝐚𝐩𝐨𝐫𝐭𝐚 𝐒𝐩𝐨𝐫𝐭 🇦🇷
L'équipe marocaine méritait sans conteste la médaille d'or. Comment a-t-elle pu être éliminée par l'Espagne ? Un mystère qui laisse perplexes même les observateurs les plus avisés.
𝐋𝐞 𝐣𝐨𝐮𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐟𝐫𝐚𝐧𝐜̧𝐚𝐢𝐬 𝐋'𝐄́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 🇫🇷
Les médaillés de bronze, l'équipe marocaine, ont écrit une nouvelle page d'histoire à Paris. Une performance qui transcende le sport et ancre le Maroc dans les annales olympiques.
𝐏𝐥𝐚𝐭𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐢𝐟𝐬 𝐚𝐥𝐠𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐧𝐬 𝐨𝐟𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥𝐬 🇩🇿
L'Égypte, réduite à se contenter de la quatrième place.
Le nom du Maroc n’a été invoqué aucunement.
Mais contre qui l’Égypte a-t-elle joué ?
Quel était le score final ?
Qui a remporté la médaille de bronze ?
Un silence assourdissant digne d'une conférence de presse en Corée du Nord.
𝐋𝐞𝐬 𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐮𝐱 𝐞́𝐠𝐲𝐩𝐭𝐢𝐞𝐧𝐬 🇪🇬
Les commentaires se font mordants :
« Heureusement que leur Roi ne s’appelle pas Mohammed 10 »,
ou encore
« Les Marocains ne manquaient plus qu’ils fassent les prières des tarawih » !
Une ironie teintée de déception générale, mais toujours avec un esprit sportif.
𝑀𝑎𝑙𝑔𝑟𝑒́ 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑢𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑓𝑎𝑖𝑡𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑢𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒𝑟𝑠 𝑒́𝑔𝑦𝑝𝑡𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑔𝑎𝑟𝑑𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑒𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑙'ℎ𝑢𝑚𝑜𝑢𝑟, 𝑝𝑟𝑒𝑢𝑣𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑙'𝑎𝑑𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́, 𝑙𝑒 𝑓𝑎𝑖𝑟-𝑝𝑙𝑎𝑦 𝑒𝑡 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑚𝑎𝑟𝑎𝑑𝑒𝑟𝑖𝑒 𝑟𝑒𝑠𝑡𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑟𝑒́𝑠𝑒𝑛𝑡𝑠.