Dans son rapport, le FMI procède à une révision à la baisse de la croissance mondiale et avance un taux : Au niveau mondial, la croissance devrait se situer à 3,6 %, en baisse de 0,8 % par rapport à ce qui avait été avancé en janvier.
Et pour cause, le conflit russo-ukrainien, de par ses dommages collatéraux, assombrit les perspectives, compromet la reprise post-pandémique et alimente les pressions inflationnistes.
Et pour cause, le conflit russo-ukrainien, de par ses dommages collatéraux, assombrit les perspectives, compromet la reprise post-pandémique et alimente les pressions inflationnistes.
Qu'en est-il au Maroc ?
A l'image de bien d'autres espaces économiques, le Maroc en souffrirait et aux derniers chiffres de cette institution de Bretton Woods, son économie devrait enregistrer, au titre de 2022, un taux de croissance de 1,1 % seulement contre 7,2 % une année auparavant.
Pour 2023, le FMI anticipe un taux de 4,6 %.
En termes d'inflation, le FMI situe la progression en variation annuelle, des prix à la consommation à 4,4 % cette année avant de retomber à 2,3 % en 2023 contre 1,4 % seulement en 2021.
Situé à à -2,9% en 2021,le solde du compte courant serait de -6,0% en 2022 et -4,0 % en 2023.
Au niveau de l'emploi et des opportunités du travail, ce rapport prévoit une baisse du chômage de 11,9 % en 2021 à 11,7 % cette année avant un nouveau recul à 11,1 % en 2023.
Pour rappel, le Chef du Gouvernement, lors de sa toute dernière présentation de la situation économique au Parlement, avait évoqué une révision à la baisse de la prévision de croissance au titre de l'exercice en cours, de 3,2 % prévue dans la loi de finances à un taux situé entre 1,5 % et 1,7 %.
En termes d'inflation, le FMI situe la progression en variation annuelle, des prix à la consommation à 4,4 % cette année avant de retomber à 2,3 % en 2023 contre 1,4 % seulement en 2021.
Situé à à -2,9% en 2021,le solde du compte courant serait de -6,0% en 2022 et -4,0 % en 2023.
Au niveau de l'emploi et des opportunités du travail, ce rapport prévoit une baisse du chômage de 11,9 % en 2021 à 11,7 % cette année avant un nouveau recul à 11,1 % en 2023.
Pour rappel, le Chef du Gouvernement, lors de sa toute dernière présentation de la situation économique au Parlement, avait évoqué une révision à la baisse de la prévision de croissance au titre de l'exercice en cours, de 3,2 % prévue dans la loi de finances à un taux situé entre 1,5 % et 1,7 %.