351 personnes sont mortes de faim au Tigré et 44 autres à Amhara, deux régions situées au Nord de l’Ethiopie, au cours des six derniers mois, a indiqué, le 30 janvier, le bureau du médiateur éthiopien, un organisme fédéral de ce pays de l’Est de l’Afrique.
Outre la sécheresse qui frappe ces deux régions, leurs populations continuent de souffrir des conséquences de la guerre civile qui a déchiré ce pays. Les affrontements armés dans ces régions ont officiellement pris fin il y a seulement 14 mois.
L’aide alimentaire distribuée par des agences humanitaires, qui ont repris leurs activités il y a juste un mois, ne parviennent qu’à une faible frange de la population de la région du Tigré.
C’est la première fois que les autorités fédérales de l’Ethiopie reconnaissent des morts par famine dans les deux régions auparavant rebelles, ayant jusqu’alors qualifié de « complétement fausses » les informations à ce sujet émanant des autorités locales.
Outre la sécheresse qui frappe ces deux régions, leurs populations continuent de souffrir des conséquences de la guerre civile qui a déchiré ce pays. Les affrontements armés dans ces régions ont officiellement pris fin il y a seulement 14 mois.
L’aide alimentaire distribuée par des agences humanitaires, qui ont repris leurs activités il y a juste un mois, ne parviennent qu’à une faible frange de la population de la région du Tigré.
C’est la première fois que les autorités fédérales de l’Ethiopie reconnaissent des morts par famine dans les deux régions auparavant rebelles, ayant jusqu’alors qualifié de « complétement fausses » les informations à ce sujet émanant des autorités locales.