Pour essayer de faire évoluer la situation, une association a été créée : L’association Marocaine des aspirants à la Maternité et la Paternité ( MAPA), présidée par Aziza GHALAM
La présidente de la MAPA est très confiante. Dans le projet de la couverture médicale généralisée, la prise en charge de la procréation médicalement assistée (PMA) figure en bonne place.
L’Agence nationale de l’assurance maladie (ANAM) est en train de préparer la mise à jour de la nomenclature des actes médicaux pour y intégrer les techniques de la PMA, tout en y ajoutant les nouveaux protocoles thérapeutiques de l’infertilité.
Pour Aziza GHALAM, présidente de la MAPA, un des principaux obstacles est la cherté des coûts pour les couples qui ont souvent à avoir recours à plusieurs tentatives successives d’AMP, pour espérer arriver à obtenir une grossesse.
La présidente de la MAPA est très confiante. Dans le projet de la couverture médicale généralisée, la prise en charge de la procréation médicalement assistée (PMA) figure en bonne place.
L’Agence nationale de l’assurance maladie (ANAM) est en train de préparer la mise à jour de la nomenclature des actes médicaux pour y intégrer les techniques de la PMA, tout en y ajoutant les nouveaux protocoles thérapeutiques de l’infertilité.
Pour Aziza GHALAM, présidente de la MAPA, un des principaux obstacles est la cherté des coûts pour les couples qui ont souvent à avoir recours à plusieurs tentatives successives d’AMP, pour espérer arriver à obtenir une grossesse.
Cela devient une véritable urgence, crie haut et fort Aziza GHALAM, afin de mettre fin à l’exclusion des couples infertiles au Maroc, particulièrement les plus vulnérables, qui résident dans les régions éloignées du Royaume.
Pour la présidente de la MAPA, le Ministère de la santé est appelé à mettre en place des partenariats public-privé pour contribuer à améliorer l’accès aux traitements et à la prise en charge des couples infertiles au Maroc.
Car, malheureusement, aujourd’hui au Maroc en 2023, les techniques de procréation médicalement assistée sont très développées dans le secteur libéral par rapport aux secteurs universitaire et public.
Rédigé par Dr Anwar Cherkaoui
Pour la présidente de la MAPA, le Ministère de la santé est appelé à mettre en place des partenariats public-privé pour contribuer à améliorer l’accès aux traitements et à la prise en charge des couples infertiles au Maroc.
Car, malheureusement, aujourd’hui au Maroc en 2023, les techniques de procréation médicalement assistée sont très développées dans le secteur libéral par rapport aux secteurs universitaire et public.
Rédigé par Dr Anwar Cherkaoui