A lire ou à écouter en podcast :
C’est du poker !
C’est comme qui dirait, compte tenue de la dernière sortie en date du gouverneur de la BAM, que le Bitcoin est remis à sa place. Une place qui lui échoit de droit, qui a fait sa renommée mondiale, et que le gouverneur ne fait qu’exacerber, avec la vigueur qui se doit, pour le reléguer à la case, non pas celle de la spéculation, tant s’en faut, mais plutôt celle du « Poker ».
Une mise au placard du bitcoin, une position tranchée dans le vif de ces explosions à la hausse que connait la monnaie virtuelle, un terme chéri des traders qui en ont fait leurs choux gras. Ceux d’entre eux, et grand bien leur fasse ! qui se sont positionnés, ou pour user du jargon de ceux qui en font profession : « spéculer » à la hausse. Une tendance dupeuse, dit-on, qui s’inscrit dans une hausse certes, mais qui aurait la malice de passer sous silence de ces fluctuations emblématique de la monnaie avec un grand B comme « Béance ».
Ça s’explique !
Un mot qui se traduit plus aisément en « Gap », qui sonne mieux, non pas en cliquetis de pièces, mais en sauts à faire votre ruine ou votre béatitude. Car le « Bitcoin » ne fait pas dans les règles de l’art, de cet art du trading, ou de la bourse pour les plus classiques.
Raison en est qu’il échapperait de tout bord au rationnel, ou ce qui se dessinerait comme tel dans l’esprit d’un analyste, qui se démène, vacille entre approche technique et fondamentale, hésite entre le vers d’une hausse, le rouge d’une baisse, entre un achat ou une vente à découvert. Oui les fluctuations du Bitcoin renfermeraient dans leurs aléas, une part « costaud » de l’imprévisible, une nervosité arbitraire. En cela, que notre gouverneur, à cheval sur la matière économique et financière, ne se trompe pas de beaucoup en associant la pratique du « poker » au malheureux « Bitcoin ».
Une rétorque qui vient à temps, en réponse aux bruits qui courent quant à une éventuelle « institutionnalisation » de cette monnaie sujette aux humeurs, ou encore sa probable utilisation de par les mastodontes, ce qui aurait, dit-on, accéléré son cours jusqu’à forcer le demi-million de dirham l’unité.
C’est comme qui dirait, compte tenue de la dernière sortie en date du gouverneur de la BAM, que le Bitcoin est remis à sa place. Une place qui lui échoit de droit, qui a fait sa renommée mondiale, et que le gouverneur ne fait qu’exacerber, avec la vigueur qui se doit, pour le reléguer à la case, non pas celle de la spéculation, tant s’en faut, mais plutôt celle du « Poker ».
Une mise au placard du bitcoin, une position tranchée dans le vif de ces explosions à la hausse que connait la monnaie virtuelle, un terme chéri des traders qui en ont fait leurs choux gras. Ceux d’entre eux, et grand bien leur fasse ! qui se sont positionnés, ou pour user du jargon de ceux qui en font profession : « spéculer » à la hausse. Une tendance dupeuse, dit-on, qui s’inscrit dans une hausse certes, mais qui aurait la malice de passer sous silence de ces fluctuations emblématique de la monnaie avec un grand B comme « Béance ».
Ça s’explique !
Un mot qui se traduit plus aisément en « Gap », qui sonne mieux, non pas en cliquetis de pièces, mais en sauts à faire votre ruine ou votre béatitude. Car le « Bitcoin » ne fait pas dans les règles de l’art, de cet art du trading, ou de la bourse pour les plus classiques.
Raison en est qu’il échapperait de tout bord au rationnel, ou ce qui se dessinerait comme tel dans l’esprit d’un analyste, qui se démène, vacille entre approche technique et fondamentale, hésite entre le vers d’une hausse, le rouge d’une baisse, entre un achat ou une vente à découvert. Oui les fluctuations du Bitcoin renfermeraient dans leurs aléas, une part « costaud » de l’imprévisible, une nervosité arbitraire. En cela, que notre gouverneur, à cheval sur la matière économique et financière, ne se trompe pas de beaucoup en associant la pratique du « poker » au malheureux « Bitcoin ».
Une rétorque qui vient à temps, en réponse aux bruits qui courent quant à une éventuelle « institutionnalisation » de cette monnaie sujette aux humeurs, ou encore sa probable utilisation de par les mastodontes, ce qui aurait, dit-on, accéléré son cours jusqu’à forcer le demi-million de dirham l’unité.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
Il faut « toucher » pour croire !
Compte tenu de la volatilité qui coupe d’avec la sûreté qui vous rassurerait un investisseur, ou encore le risque de raison que puisse souffrir un spéculateur, car, de l’épargne, parlons-en moins, le Bitcoin ne serait pas ce pied sur lequel on maintiendrait une démarche économe, ou une caisse de survie, barricade contre ces galères qui pourraient croiser votre chemin de vie, compte tenu de ce qui ressort donc de ce constat prégnant, le gouverneur ne préconise en rien l’intégration du bitcoin à notre machine financière marocaine.
D’autant plus, dit-il, pour agrémenter son plaidoyer de plus de teneur et de raison, que le marocain aurait un grand attachement, pour ce qui revient dans son expression comme « cash ». Que le rapport, oserait-on, dans notre tentative d’appréhender la chose en son ensemble, entre le marocain et l’argent serait physique.
Que c’est comme qui dirait que ce dernier se devrait toucher, plutôt que voir, pour croire. Que cela, par un effort de mémoire, ne fait que confirmer les chiffres plutôt que la simple idée que le marocain ait une prédilection pour le paiement en cash, mais ça c’est autre chose….
Hicham Aboumerrouane
Compte tenu de la volatilité qui coupe d’avec la sûreté qui vous rassurerait un investisseur, ou encore le risque de raison que puisse souffrir un spéculateur, car, de l’épargne, parlons-en moins, le Bitcoin ne serait pas ce pied sur lequel on maintiendrait une démarche économe, ou une caisse de survie, barricade contre ces galères qui pourraient croiser votre chemin de vie, compte tenu de ce qui ressort donc de ce constat prégnant, le gouverneur ne préconise en rien l’intégration du bitcoin à notre machine financière marocaine.
D’autant plus, dit-il, pour agrémenter son plaidoyer de plus de teneur et de raison, que le marocain aurait un grand attachement, pour ce qui revient dans son expression comme « cash ». Que le rapport, oserait-on, dans notre tentative d’appréhender la chose en son ensemble, entre le marocain et l’argent serait physique.
Que c’est comme qui dirait que ce dernier se devrait toucher, plutôt que voir, pour croire. Que cela, par un effort de mémoire, ne fait que confirmer les chiffres plutôt que la simple idée que le marocain ait une prédilection pour le paiement en cash, mais ça c’est autre chose….
Hicham Aboumerrouane