Ce mercredi matin, l'armée israélienne a rapporté un événement majeur dans le conflit qui l'oppose au Hezbollah : pour la première fois, un missile tiré par le mouvement chiite libanais a ciblé Tel-Aviv, cœur économique et symbolique d’Israël. Bien que le projectile ait été intercepté par le système de défense antimissile, cet acte représente un tournant dans les tensions régionales. « C’est la toute première fois qu’un missile du Hezbollah atteint cette zone », a confirmé un porte-parole militaire israélien. Cette attaque, selon les autorités israéliennes, traduit une volonté claire du Hezbollah d’intensifier la situation et de créer un climat de terreur parmi la population israélienne.
Alors qu'avant ce tir de missile par le Hezbollah sur Tel-Aviv, Israël avait déjà mené plusieurs frappes sur des cibles au Liban, notamment sur les infrastructures du mouvement chiite. L’armée israélienne a justifié ces frappes comme étant préventives ou réactives face aux activités du Hezbollah. Cependant, cette dynamique est marquée par un déséquilibre : Israël dispose d’une supériorité militaire significative et a souvent lancé des offensives aériennes bien avant que des représailles similaires ne soient observées. Ainsi, dans la nuit précédant le tir de missile, les avions de chasse israéliens avaient frappé plusieurs positions du Hezbollah, aggravant la situation sur le terrain.
Les sirènes d’alerte ont retenti dans les régions de Tel-Aviv et de Netanya, jetant l’ombre d’un nouveau conflit majeur entre Israël et le Hezbollah. La réponse israélienne ne s’est pas fait attendre. L'armée a mené une série de frappes aériennes sur des cibles du Hezbollah au sud du Liban, notamment des sites de lancement de missiles, des installations de stockage d’armes, et des bases militaires du groupe. La région de Nafakhiyeh, d'où aurait été tiré le missile, a également été lourdement bombardée.
Cet incident intervient dans un contexte déjà tendu marqué par des mois de violents affrontements entre les forces israéliennes et les groupes armés dans la région. La montée en puissance du Hezbollah, allié de l’Iran, et sa capacité à viser des cibles aussi sensibles que Tel-Aviv, soulèvent des inquiétudes sur la possibilité d’une guerre ouverte.
Alors qu'avant ce tir de missile par le Hezbollah sur Tel-Aviv, Israël avait déjà mené plusieurs frappes sur des cibles au Liban, notamment sur les infrastructures du mouvement chiite. L’armée israélienne a justifié ces frappes comme étant préventives ou réactives face aux activités du Hezbollah. Cependant, cette dynamique est marquée par un déséquilibre : Israël dispose d’une supériorité militaire significative et a souvent lancé des offensives aériennes bien avant que des représailles similaires ne soient observées. Ainsi, dans la nuit précédant le tir de missile, les avions de chasse israéliens avaient frappé plusieurs positions du Hezbollah, aggravant la situation sur le terrain.
Les sirènes d’alerte ont retenti dans les régions de Tel-Aviv et de Netanya, jetant l’ombre d’un nouveau conflit majeur entre Israël et le Hezbollah. La réponse israélienne ne s’est pas fait attendre. L'armée a mené une série de frappes aériennes sur des cibles du Hezbollah au sud du Liban, notamment des sites de lancement de missiles, des installations de stockage d’armes, et des bases militaires du groupe. La région de Nafakhiyeh, d'où aurait été tiré le missile, a également été lourdement bombardée.
Cet incident intervient dans un contexte déjà tendu marqué par des mois de violents affrontements entre les forces israéliennes et les groupes armés dans la région. La montée en puissance du Hezbollah, allié de l’Iran, et sa capacité à viser des cibles aussi sensibles que Tel-Aviv, soulèvent des inquiétudes sur la possibilité d’une guerre ouverte.