À l'image de Carlos Tavares, le PDG du groupe PSA (Peugeot-Citroën), Akio Toyoda, le dirigeant de Toyota, se montre lui aussi sceptique quant à l'avenir des véhicules électriques. Il estime que les véhicules électriques sont actuellement surestimés, et que le secteur dans son ensemble est vulnérable.
Lors d'une conférence de presse, Akio Toyoda a déclaré : "Les véhicules électriques sont surévalués." Il a mis l'accent sur le "battage médiatique excessif" entourant les véhicules électriques et le manque d'évaluations appropriées des impacts d'une adoption généralisée de la mobilité zéro émission sur l'économie japonaise.
Toyoda a critiqué ceux qui soutiennent l'électrification en soulignant qu'ils négligent souvent les émissions de dioxyde de carbone produites lors de la production d'électricité, ainsi que les coûts sociaux associés à la transition énergétique. De plus, il a mis en garde contre le risque de pénurie d'électricité au Japon si l'ensemble de la flotte automobile était électrifiée, nécessitant ainsi la construction d'une infrastructure coûteuse, estimée entre 14 000 et 37 000 milliards de yens (165 à 438 milliards d'euros).
Toyoda a également souligné la forte dépendance du Japon vis-à-vis du charbon et du gaz naturel pour la production d'électricité, ce qui complique la transition vers une mobilité électrique sans émissions significatives.
Selon Toyoda, la mobilité électrique peut même aggraver les émissions de dioxyde de carbone à mesure que la production de véhicules électriques augmente. De plus, il met en garde contre les conséquences potentiellement néfastes de l'interdiction des véhicules thermiques au Japon à partir de 2035, estimant que cela pourrait entraîner un effondrement du modèle économique actuel de l'industrie automobile et la perte de millions d'emplois.
Enfin, Toyoda exprime des inquiétudes quant à l'impact des réglementations d'émissions de plus en plus strictes sur les consommateurs, craignant que les véhicules électriques ne deviennent un luxe hors de portée de la classe moyenne.
Lors d'une conférence de presse, Akio Toyoda a déclaré : "Les véhicules électriques sont surévalués." Il a mis l'accent sur le "battage médiatique excessif" entourant les véhicules électriques et le manque d'évaluations appropriées des impacts d'une adoption généralisée de la mobilité zéro émission sur l'économie japonaise.
Toyoda a critiqué ceux qui soutiennent l'électrification en soulignant qu'ils négligent souvent les émissions de dioxyde de carbone produites lors de la production d'électricité, ainsi que les coûts sociaux associés à la transition énergétique. De plus, il a mis en garde contre le risque de pénurie d'électricité au Japon si l'ensemble de la flotte automobile était électrifiée, nécessitant ainsi la construction d'une infrastructure coûteuse, estimée entre 14 000 et 37 000 milliards de yens (165 à 438 milliards d'euros).
Toyoda a également souligné la forte dépendance du Japon vis-à-vis du charbon et du gaz naturel pour la production d'électricité, ce qui complique la transition vers une mobilité électrique sans émissions significatives.
Selon Toyoda, la mobilité électrique peut même aggraver les émissions de dioxyde de carbone à mesure que la production de véhicules électriques augmente. De plus, il met en garde contre les conséquences potentiellement néfastes de l'interdiction des véhicules thermiques au Japon à partir de 2035, estimant que cela pourrait entraîner un effondrement du modèle économique actuel de l'industrie automobile et la perte de millions d'emplois.
Enfin, Toyoda exprime des inquiétudes quant à l'impact des réglementations d'émissions de plus en plus strictes sur les consommateurs, craignant que les véhicules électriques ne deviennent un luxe hors de portée de la classe moyenne.