À quelques jour du lancement de sa série The Idol, le chanteur canadien Abel Tesfaye, alias The Weeknd, dévoile ce vendredi un extrait de la bande-originale intitulé Popular, sur lequel Madonna a posé sa voix. Les deux artistes y sont également accompagnés du rappeur américain Playboi Carti.
La vidéo qui accompagne ce titre est constituée d'images du passage de l'équipe de la série au Festival de Cannes, où les deux premiers épisodes ont été présentés la semaine dernière.
The Weeknd et Sam Levinson, co-créateurs de la série, y apparaissent aux côtés de l'actrice principale Lily-Rose Depp et d'autres membres du casting: Rachel Sennott, le chanteur Troye Sivan ou encore Jennie Ruby Jane, connue comme l'une des membres du groupe de K-Pop Blackpink.
La vidéo qui accompagne ce titre est constituée d'images du passage de l'équipe de la série au Festival de Cannes, où les deux premiers épisodes ont été présentés la semaine dernière.
The Weeknd et Sam Levinson, co-créateurs de la série, y apparaissent aux côtés de l'actrice principale Lily-Rose Depp et d'autres membres du casting: Rachel Sennott, le chanteur Troye Sivan ou encore Jennie Ruby Jane, connue comme l'une des membres du groupe de K-Pop Blackpink.
Une série controversée
The Idol suit Joss (Lily-Rose Depp), une popstar américaine qui tente de revenir sous le feu des projecteurs après un passage à vide. Elle croise alors Tedros (The Weeknd), un gourou dont elle tombe sous le charme.
Cette série fait l'objet de plusieurs controverses. Selon une enquête du magazine Rolling Stone publiée en mars, Sam Levinson aurait réécrit et retourné le projet après le départ d'Amy Seimetz, la réalisatrice d'origine, donnant à la série des allures d'"apologie du viol".
Le passage de la série à Cannes a également fait couler beaucoup d'encre: la critique a éreinté les deux premiers épisodes, les qualifiant de "sexistes" et sordides".
L'ODJ avec NRJ.fr
Cette série fait l'objet de plusieurs controverses. Selon une enquête du magazine Rolling Stone publiée en mars, Sam Levinson aurait réécrit et retourné le projet après le départ d'Amy Seimetz, la réalisatrice d'origine, donnant à la série des allures d'"apologie du viol".
Le passage de la série à Cannes a également fait couler beaucoup d'encre: la critique a éreinté les deux premiers épisodes, les qualifiant de "sexistes" et sordides".
L'ODJ avec NRJ.fr