Par Adnane Benchakroun
Sur l’échiquier des pions, le fou danse et s’agite,
Au bal masqué du pouvoir, tout semble interdit.
Rien ne vaut rien, et pourtant, "tout arrive",
Dans ce théâtre absurde, le temps nous dérive.
Le ridicule en politique, un fardeau qui perdure,
Malgré les mascarades, l’espoir se murmure.
La vie, une scène où chacun doit paraître,
Même vide de sens, le spectacle doit être.
Dans les couloirs du temps, les rires résonnent,
Face à l'absurde, notre destin frissonne.
"Rien ne se passe", dit l’écho lointain,
Mais sous le voile, le destin tient nos mains.
Les nihilistes nous peignaient l'existence sans couronne,
Où chaque jour se fond dans la brume monotone.
Pourtant, la vie se trame en coulisse cachée,
Derrière des portes closes, la vérité est tâchée.
Quel est le poids d’un acte, si tout est éphémère ?
Dans l'oubli politique, quel est le prix de la terre ?
Aliénés, nous errons dans des déserts de faux-semblants,
Cherchant un sens perdu, dans les sables mouvants.
À l’assemblée des hommes, les discours s’envolent,
Parfois vides de sens, des mots qui frôlent
L’absurde, échouant à masquer leur vide,
Pendant que le monde, indifférent, glisse et glisse.
Et pourtant dans ce néant, des éclats se façonnent,
Petites étincelles dans l’obscurité, qui étonnent.
Car même dans le vide, la vie s'obstine,
Dans le silence, une nouvelle épopée devine.
Le ridicule ne tue point dans ce ballet d’ombres,
Car chacun joue sa part, en ces jours sombres.
Les acteurs changent, mais la pièce demeure,
Un cycle sans fin, où chaque heure se leurre.
Sous les masques d’argent, les visages se perdent,
Politiques de théâtre, où les âmes se serrent.
Dans l’absurde, chaque pas semble dérisoire,
Mais la danse continue, dans l’espoir d’un voir.
Que reste-t-il donc, dans ce chaos sans nom ?
Un souffle, un murmure, une simple chanson.
Face à l'absurde, la poésie nous sauve,
Rendant l'éphémère, éternel dans son alcôve.
Ainsi, même ridicule, la politique s’acharne,
Poursuivant sa route, entre ombre et charme.
Dans l'absurde théâtre de notre existence,
Chaque geste, chaque mot, prend soudain sens.
Alors écoutons les leçons de Lahbabi et Guessous,
Dans un monde sans guide, trouvons notre vue.
Le ridicule ne tue pas, mais enseigne la mesure,
Dans ce grand rien, cherchons notre propre aventure.
Au bal masqué du pouvoir, tout semble interdit.
Rien ne vaut rien, et pourtant, "tout arrive",
Dans ce théâtre absurde, le temps nous dérive.
Le ridicule en politique, un fardeau qui perdure,
Malgré les mascarades, l’espoir se murmure.
La vie, une scène où chacun doit paraître,
Même vide de sens, le spectacle doit être.
Dans les couloirs du temps, les rires résonnent,
Face à l'absurde, notre destin frissonne.
"Rien ne se passe", dit l’écho lointain,
Mais sous le voile, le destin tient nos mains.
Les nihilistes nous peignaient l'existence sans couronne,
Où chaque jour se fond dans la brume monotone.
Pourtant, la vie se trame en coulisse cachée,
Derrière des portes closes, la vérité est tâchée.
Quel est le poids d’un acte, si tout est éphémère ?
Dans l'oubli politique, quel est le prix de la terre ?
Aliénés, nous errons dans des déserts de faux-semblants,
Cherchant un sens perdu, dans les sables mouvants.
À l’assemblée des hommes, les discours s’envolent,
Parfois vides de sens, des mots qui frôlent
L’absurde, échouant à masquer leur vide,
Pendant que le monde, indifférent, glisse et glisse.
Et pourtant dans ce néant, des éclats se façonnent,
Petites étincelles dans l’obscurité, qui étonnent.
Car même dans le vide, la vie s'obstine,
Dans le silence, une nouvelle épopée devine.
Le ridicule ne tue point dans ce ballet d’ombres,
Car chacun joue sa part, en ces jours sombres.
Les acteurs changent, mais la pièce demeure,
Un cycle sans fin, où chaque heure se leurre.
Sous les masques d’argent, les visages se perdent,
Politiques de théâtre, où les âmes se serrent.
Dans l’absurde, chaque pas semble dérisoire,
Mais la danse continue, dans l’espoir d’un voir.
Que reste-t-il donc, dans ce chaos sans nom ?
Un souffle, un murmure, une simple chanson.
Face à l'absurde, la poésie nous sauve,
Rendant l'éphémère, éternel dans son alcôve.
Ainsi, même ridicule, la politique s’acharne,
Poursuivant sa route, entre ombre et charme.
Dans l'absurde théâtre de notre existence,
Chaque geste, chaque mot, prend soudain sens.
Alors écoutons les leçons de Lahbabi et Guessous,
Dans un monde sans guide, trouvons notre vue.
Le ridicule ne tue pas, mais enseigne la mesure,
Dans ce grand rien, cherchons notre propre aventure.