Désormais ces chansons de Mouna Asaad sont diffusées sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict par l'intermédiare de L'ODJ Média
Et ce n’est pas tout. La chanteuse se prépare à lancer un mini-album compilant quatre singles alliant des styles marocains et modernes. Par là, l’artiste veut «satisfaire tous les goûts en musique».
En outre, elle avait lancé, en 2018, un autre tube appelé «Hechoumi» (Timide), dont les paroles sont conçues par Younes Adam pour une composition de Nabil El Houri et un arrangement de Badr El Makhloufi.
Bien avant, elle avait sorti «Mi dada henna» dont l’arrangement a été fait dans un style nouveau par Rachid Mohamed Ali. Quant aux paroles et la composition de cette œuvre, elles ont été conçues par son défunt père, l’artiste Mohamed El Bacha. C’est avec ce single que la chanteuse a réellement fait son retour, dans la même année, sur scène bien avant de lancer «Barda Barda». Un titre dont le clip est également marqué par la participation d’un automate d’origine camerounaise, Noureddine Fakhir, également danseur installé au Maroc. En recourant à ce chorégraphe dans ce morceau et au héros turc dans le clip «Asserrak», Mouna Assada fait preuve d’imagination qu’elle exprime dans les clips de ses chansons. Chose qui lui vaut l’admiration des mélomanes.
En outre, elle avait lancé, en 2018, un autre tube appelé «Hechoumi» (Timide), dont les paroles sont conçues par Younes Adam pour une composition de Nabil El Houri et un arrangement de Badr El Makhloufi.
Bien avant, elle avait sorti «Mi dada henna» dont l’arrangement a été fait dans un style nouveau par Rachid Mohamed Ali. Quant aux paroles et la composition de cette œuvre, elles ont été conçues par son défunt père, l’artiste Mohamed El Bacha. C’est avec ce single que la chanteuse a réellement fait son retour, dans la même année, sur scène bien avant de lancer «Barda Barda». Un titre dont le clip est également marqué par la participation d’un automate d’origine camerounaise, Noureddine Fakhir, également danseur installé au Maroc. En recourant à ce chorégraphe dans ce morceau et au héros turc dans le clip «Asserrak», Mouna Assada fait preuve d’imagination qu’elle exprime dans les clips de ses chansons. Chose qui lui vaut l’admiration des mélomanes.