Le Maroc, autrefois membre du cercle restreint des dix plus grands exportateurs d’huile d’olive, se voit aujourd’hui dans l’obligation d’importer ce produit emblématique. Face à une pénurie qui a fait grimper les prix à un niveau record de 150 dirhams le litre, le gouvernement marocain s'apprête à ouvrir ses marchés à des importations d'huile d'olive pour réguler cette hausse. Cette décision marque un tournant décisif dans une filière qui a longtemps été un pilier de l’agriculture marocaine.
Cette crise, qui frappe la production oléicole depuis plus de trois ans, est le résultat de plusieurs facteurs. Parmi eux, on retrouve la baisse des précipitations due au changement climatique, qui a drastiquement réduit les rendements. Le pays, particulièrement touché par la sécheresse, a vu sa capacité à répondre à la demande locale s’effondrer.
Pourtant, le Maroc était jusque récemment autosuffisant et parvenait même à exporter une partie de sa production. Désormais, cette autosuffisance appartient au passé, forçant le royaume à revoir sa stratégie et à chercher des alternatives pour répondre aux besoins des consommateurs. Pour éviter une dépendance accrue aux importations, le gouvernement devra envisager des solutions durables, telles que l'irrigation moderne et des politiques d'adaptation au changement climatique, pour protéger ce qui était autrefois une fierté nationale.
Cette crise, qui frappe la production oléicole depuis plus de trois ans, est le résultat de plusieurs facteurs. Parmi eux, on retrouve la baisse des précipitations due au changement climatique, qui a drastiquement réduit les rendements. Le pays, particulièrement touché par la sécheresse, a vu sa capacité à répondre à la demande locale s’effondrer.
Pourtant, le Maroc était jusque récemment autosuffisant et parvenait même à exporter une partie de sa production. Désormais, cette autosuffisance appartient au passé, forçant le royaume à revoir sa stratégie et à chercher des alternatives pour répondre aux besoins des consommateurs. Pour éviter une dépendance accrue aux importations, le gouvernement devra envisager des solutions durables, telles que l'irrigation moderne et des politiques d'adaptation au changement climatique, pour protéger ce qui était autrefois une fierté nationale.