La sécheresse qui sévit au Maroc a gravement affecté la production de pastèques, une culture particulièrement gourmande en eau. Cette année, les surfaces cultivées ont été drastiquement réduites, et une partie des récoltes a été ravagée par les pucerons. Les exportateurs marocains subissent également une faible demande sur les marchés internationaux, où la consommation de pastèques est en déclin.
La conjugaison de ces facteurs met en péril les revenus des agriculteurs et des exportateurs. Ce contexte difficile appelle à une réévaluation des stratégies agricoles et à une meilleure gestion des ressources en eau pour garantir la pérennité de ce secteur vital.
La conjugaison de ces facteurs met en péril les revenus des agriculteurs et des exportateurs. Ce contexte difficile appelle à une réévaluation des stratégies agricoles et à une meilleure gestion des ressources en eau pour garantir la pérennité de ce secteur vital.