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Développement humain et sécurité régionale : Édito de Ahmed Naji , Directeur de la publication
Une bonne nouvelle pour entamer dans l’espoir ce mois sacré du Ramadan : le Maroc a progressé de trois places, en matière de développement humain, dans le classement pour l’année 2023 du Programme des Nations Unies pour le Développement (Pnud).
Le royaume est passé du 123ème au 120ème rang, le rapport publié par le Pnud le 13 mars portant sur 191 pays, un saut notable qui différencie de la tendance enregistrée lors de la décennie écoulée.
Le rapport du Pnud met l’accent sur les avancées réalisées par le royaume en ce qui concerne l’éducation, la santé et le soutien direct aux ménages les moins favorisés, ainsi qu’à l’habitat.
Les directives de SM le Roi relatives à la dynamisation des chantiers sociaux ont, donc, porté leurs fruits.
Parallèlement, le Maroc a réduit ses achats d’armes de 46%, selon le dernier rapport de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri), pour se classer 29ème importateur mondial et 7ème dans le monde arabe.
Chiffres à l’appui, le Maroc investit plus dans les domaines sociaux pour assurer le bien-être de sa population et moins dans l’armement, qui n’en demeure pas moins une dépense inévitable en raison d’un voisinage menaçant.
Sous le leadership du Roi Mohammed VI, le Maroc a mis l’accent sur la dimension humaine en matière de développement, une approche qui s’est également reflétée sur sa politique extérieure.
L’initiative royale proposant l’accès à l’océan Atlantique aux pays du Sahel ne va pas manquer d’impacter positivement le niveau de vie des populations de ces pays africains enclavés.
Menant une lutte acharnée contre des groupes armés terroristes, les pays du Sahel sont aussi conscients de la nécessité de sécuriser la sous-région, un préalable incontournable au processus de développement.
Au Sud du Maroc comme au Nord des pays du Sahel, il y a similitude des acteurs extérieurs soutenant les groupes armés terroristes et le même besoin de le faire comprendre à la communauté internationale.
Pour passer du Nord du Mali au port de Dakhla, sur la côte atlantique, en traversant le Nord de la Mauritanie, pas très loin des camps des mercenaires du polisario, à Tindouf, il n’y a pas d’autres choix que de procéder à la « désinfection » de toute cette zone, qui pullule de groupes terroristes.
L’avenir de tous les pays limitrophes du Sahara et du Sahel et le bien-être de leurs populations passe par un contrôle accru des flux transfrontaliers dans la sous-région, pour une lutte plus efficace contre le terrorisme et les trafics d’êtres humains et de stupéfiants.
Pour parvenir à améliorer encore plus son indice de développement humain, le Maroc mise autant sur les chantiers sociaux que sur son essor économique, qui exige la sécurisation de ses flux commerciaux sur le continent.
La toile de partenariats gagnant-gagnant tissée par le royaume à travers l’Afrique, à protéger contre toutes les formes de subversion, vise avant tout à assurer le bien-être auquel aspirent tous les peuples africains.
Bon Ramadan.
Le royaume est passé du 123ème au 120ème rang, le rapport publié par le Pnud le 13 mars portant sur 191 pays, un saut notable qui différencie de la tendance enregistrée lors de la décennie écoulée.
Le rapport du Pnud met l’accent sur les avancées réalisées par le royaume en ce qui concerne l’éducation, la santé et le soutien direct aux ménages les moins favorisés, ainsi qu’à l’habitat.
Les directives de SM le Roi relatives à la dynamisation des chantiers sociaux ont, donc, porté leurs fruits.
Parallèlement, le Maroc a réduit ses achats d’armes de 46%, selon le dernier rapport de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri), pour se classer 29ème importateur mondial et 7ème dans le monde arabe.
Chiffres à l’appui, le Maroc investit plus dans les domaines sociaux pour assurer le bien-être de sa population et moins dans l’armement, qui n’en demeure pas moins une dépense inévitable en raison d’un voisinage menaçant.
Sous le leadership du Roi Mohammed VI, le Maroc a mis l’accent sur la dimension humaine en matière de développement, une approche qui s’est également reflétée sur sa politique extérieure.
L’initiative royale proposant l’accès à l’océan Atlantique aux pays du Sahel ne va pas manquer d’impacter positivement le niveau de vie des populations de ces pays africains enclavés.
Menant une lutte acharnée contre des groupes armés terroristes, les pays du Sahel sont aussi conscients de la nécessité de sécuriser la sous-région, un préalable incontournable au processus de développement.
Au Sud du Maroc comme au Nord des pays du Sahel, il y a similitude des acteurs extérieurs soutenant les groupes armés terroristes et le même besoin de le faire comprendre à la communauté internationale.
Pour passer du Nord du Mali au port de Dakhla, sur la côte atlantique, en traversant le Nord de la Mauritanie, pas très loin des camps des mercenaires du polisario, à Tindouf, il n’y a pas d’autres choix que de procéder à la « désinfection » de toute cette zone, qui pullule de groupes terroristes.
L’avenir de tous les pays limitrophes du Sahara et du Sahel et le bien-être de leurs populations passe par un contrôle accru des flux transfrontaliers dans la sous-région, pour une lutte plus efficace contre le terrorisme et les trafics d’êtres humains et de stupéfiants.
Pour parvenir à améliorer encore plus son indice de développement humain, le Maroc mise autant sur les chantiers sociaux que sur son essor économique, qui exige la sécurisation de ses flux commerciaux sur le continent.
La toile de partenariats gagnant-gagnant tissée par le royaume à travers l’Afrique, à protéger contre toutes les formes de subversion, vise avant tout à assurer le bien-être auquel aspirent tous les peuples africains.
Bon Ramadan.
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