A lire ou à écouter en podcast :
Les élections législatives marocaines de 2026 approchent à grands pas.
Comme c’est le cas actuellement pour les gouvernements sortants à travers le monde, la crise du coût de la vie représente un réel risque politique et force la coalition au pouvoir à ajuster sa stratégie.
Au-delà des mesures et des programmes annoncés, la question essentielle à laquelle la coalition devrait répondre est la suivante : Pourquoi briguer un autre mandat alors que la crise du coût de la vie érode la confiance des électeurs ?
Cela me rappelle un candidat aux élections américaines qui, bien qu’ayant tout prévu dans les moindres détails, a été pris de court par une question simple d’un journaliste : "Pourquoi vous présentez-vous ?" Son silence bref mais embarrassant marquait le début de la fin de sa campagne.
La réponse à cette question doit s’intégrer dans un storytelling plus large.
Dès maintenant, l’objectif devrait être de façonner la question que l’électeur se posera devant l’urne.
En tant que consultant en stratégie politique, je conseille aux partis au pouvoir d'adopter une approche proactive pour gérer le taux d’insatisfaction. L’objectif est d’incarner le changement et d'éviter que la crise du coût de la vie ne devienne le principal enjeu de la campagne.
Pour cela, il faut avoir une histoire à raconter. C'est là que le bât blesse.
Pour un message efficace, il est aussi essentiel de rappeler quatre règles fondamentales d’une bonne stratégie de communication politique :
L’appel aux émotions afin de connecter avec les préoccupations de l’électeur cible Capitaliser sur le lien émotionnel pour mettre en lumière les points faibles des concurrents Identifier un fait qui prouve ce qui ne fonctionne pas et qui alimente l’appel aux émotions Se démarquer des plans concurrents en proposant une solution qui recentre le message sur la connexion émotionnelle avec l’électeur cible Le parti qui remportera ces élections sera celui qui saura raconter la meilleure histoire.
Et vous, quel sera, selon vous, l’enjeu déterminant des prochaines élections ?
Au-delà des mesures et des programmes annoncés, la question essentielle à laquelle la coalition devrait répondre est la suivante : Pourquoi briguer un autre mandat alors que la crise du coût de la vie érode la confiance des électeurs ?
Cela me rappelle un candidat aux élections américaines qui, bien qu’ayant tout prévu dans les moindres détails, a été pris de court par une question simple d’un journaliste : "Pourquoi vous présentez-vous ?" Son silence bref mais embarrassant marquait le début de la fin de sa campagne.
La réponse à cette question doit s’intégrer dans un storytelling plus large.
Dès maintenant, l’objectif devrait être de façonner la question que l’électeur se posera devant l’urne.
En tant que consultant en stratégie politique, je conseille aux partis au pouvoir d'adopter une approche proactive pour gérer le taux d’insatisfaction. L’objectif est d’incarner le changement et d'éviter que la crise du coût de la vie ne devienne le principal enjeu de la campagne.
Pour cela, il faut avoir une histoire à raconter. C'est là que le bât blesse.
Pour un message efficace, il est aussi essentiel de rappeler quatre règles fondamentales d’une bonne stratégie de communication politique :
L’appel aux émotions afin de connecter avec les préoccupations de l’électeur cible Capitaliser sur le lien émotionnel pour mettre en lumière les points faibles des concurrents Identifier un fait qui prouve ce qui ne fonctionne pas et qui alimente l’appel aux émotions Se démarquer des plans concurrents en proposant une solution qui recentre le message sur la connexion émotionnelle avec l’électeur cible Le parti qui remportera ces élections sera celui qui saura raconter la meilleure histoire.
Et vous, quel sera, selon vous, l’enjeu déterminant des prochaines élections ?