Poème à écouter en musique de Dr Anwar CHERKAOU
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Dr Anwar CHERKAOUI
Pardon.
Cinq lettres qui cognent, qui résonnent,
Un mot simple, mais qui tonne,
Comme un écho dans une maison d’Allah,
Comme un cri dans le silence astral.
Ce soir-là…
Vous m’attendiez, cœurs ouverts, âmes nues,
Fleurs en main, espoir tendu,
Bougies vacillantes, lumière fragile,
Et moi… moi, j’ai soufflé comme un débile.
J’ai brisé l’harmonie, fracassé vos tendresses,
Avec des mots durs, des éclats de détresse.
Vous étiez lumière, éclat d’or,
Et moi, ombre, orage, un corps à corps.
Pas d’excuses, juste une vérité brute,
Une colère en moi, une tempête qui lutte.
Inexplicable, irraisonnée,
Elle a tout balayé, elle vous a touchés.
Mais aujourd’hui, la paix revient,
Un souffle calme, un chemin ancien.
Et mon souhait, c’est qu’elle éclaire vos cieux,
Qu’elle touche vos âmes, qu’elle sèche vos larmes
Alors, je demande pardon.
Pas comme un geste, pas comme un don,
Mais comme une nécessité,
Un cri d’amour, une renaissance.
Parce que sans vous, je ne suis rien,
Et avec vous, je touche le divin.
Ce pardon, ce n’est pas juste pour moi,
C’est pour vous, pour nous, pour nos voix.
Dans le pardon se cache la libération,
Un acte d’amour, une révolution.
Effacez ces cicatrices, ces douleurs gravées,
Je sais que vous pouvez, je sais que vous y êtes arrivés
Je l’implore, le Tout Puissant,
De me garder libre, de me tenir debout.
Que l’ombre de la violence en moi s’efface
Que l’amour, que la lumière prennent leur place.
Pardon pour cette nuit où j’ai éteint vos étoiles,
Pardon pour avoir terni vos âmes royales.
Pardon d’avoir oublié l’essentiel,
Vous, mes trésors, mon arc-en-ciel.
Je vous aime, d’un amour infini,
Et dans vos bras, je redeviens qui je suis.
Un homme en quête, un cœur qui bat,
Pour vous, pour nous, à chaque pas.
Pardon…
Un mot, un cri, une promesse.
Pardon…
Une lumière, une tendresse.
Cinq lettres qui cognent, qui résonnent,
Un mot simple, mais qui tonne,
Comme un écho dans une maison d’Allah,
Comme un cri dans le silence astral.
Ce soir-là…
Vous m’attendiez, cœurs ouverts, âmes nues,
Fleurs en main, espoir tendu,
Bougies vacillantes, lumière fragile,
Et moi… moi, j’ai soufflé comme un débile.
J’ai brisé l’harmonie, fracassé vos tendresses,
Avec des mots durs, des éclats de détresse.
Vous étiez lumière, éclat d’or,
Et moi, ombre, orage, un corps à corps.
Pas d’excuses, juste une vérité brute,
Une colère en moi, une tempête qui lutte.
Inexplicable, irraisonnée,
Elle a tout balayé, elle vous a touchés.
Mais aujourd’hui, la paix revient,
Un souffle calme, un chemin ancien.
Et mon souhait, c’est qu’elle éclaire vos cieux,
Qu’elle touche vos âmes, qu’elle sèche vos larmes
Alors, je demande pardon.
Pas comme un geste, pas comme un don,
Mais comme une nécessité,
Un cri d’amour, une renaissance.
Parce que sans vous, je ne suis rien,
Et avec vous, je touche le divin.
Ce pardon, ce n’est pas juste pour moi,
C’est pour vous, pour nous, pour nos voix.
Dans le pardon se cache la libération,
Un acte d’amour, une révolution.
Effacez ces cicatrices, ces douleurs gravées,
Je sais que vous pouvez, je sais que vous y êtes arrivés
Je l’implore, le Tout Puissant,
De me garder libre, de me tenir debout.
Que l’ombre de la violence en moi s’efface
Que l’amour, que la lumière prennent leur place.
Pardon pour cette nuit où j’ai éteint vos étoiles,
Pardon pour avoir terni vos âmes royales.
Pardon d’avoir oublié l’essentiel,
Vous, mes trésors, mon arc-en-ciel.
Je vous aime, d’un amour infini,
Et dans vos bras, je redeviens qui je suis.
Un homme en quête, un cœur qui bat,
Pour vous, pour nous, à chaque pas.
Pardon…
Un mot, un cri, une promesse.
Pardon…
Une lumière, une tendresse.
Ce poème est une profonde quête de rédemption et d’amour.
L’auteur implore le pardon après avoir brisé une harmonie fragile, symbolisée par des êtres lumineux et tendres qu’il a blessés par des mots durs et une colère incontrôlée. Ce pardon n’est pas une formalité, mais une nécessité vitale, un cri d’amour et de renaissance.
L’acte de demander pardon devient une libération, une révolution intérieure, et une prière pour remplacer l’ombre par la lumière. L’auteur exprime sa vulnérabilité et son attachement infini à ceux qu’il aime, les décrivant comme des trésors et des sources de renouveau.
Le poème célèbre le pouvoir réparateur du pardon, capable d’effacer les cicatrices et de redonner sens à la vie. Dans cet élan sincère, l’auteur reconnaît sa dépendance à l’amour de l’autre pour retrouver sa propre humanité.
L’acte de demander pardon devient une libération, une révolution intérieure, et une prière pour remplacer l’ombre par la lumière. L’auteur exprime sa vulnérabilité et son attachement infini à ceux qu’il aime, les décrivant comme des trésors et des sources de renouveau.
Le poème célèbre le pouvoir réparateur du pardon, capable d’effacer les cicatrices et de redonner sens à la vie. Dans cet élan sincère, l’auteur reconnaît sa dépendance à l’amour de l’autre pour retrouver sa propre humanité.