Outre leurs performances remarquables, ces athlètes ont également démontré que sport et mode pouvaient coexister harmonieusement. Depuis le début des Paralympiques de Paris le 22 août, plusieurs athlètes non-voyantes ont opté pour des masques originaux et créatifs lors de leurs épreuves. Le 30 août, lors de la finale du saut en longueur T11 (catégorie pour personnes ayant une déficience visuelle quasi totale) au Stade de France, l'Italienne Arjola Dedaj a particulièrement attiré l’attention en portant un bandeau en forme de papillon, parfaitement assorti à sa tenue.
Selon l'OMAR (Observatoire des maladies rares), la sportive souffrirait de rétinite pigmentaire, une maladie rétinienne dégénérative héréditaire affectant environ 1,5 million de personnes dans le monde. Cette condition provoque une perte progressive de la vision nocturne et du champ visuel périphérique, pouvant conduire à une diminution de l’acuité visuelle et, dans certains cas, à la cécité.
À l'instar d'Arjola Dedaj, d'autres athlètes ont choisi d'ajouter une touche de glamour ou d'humour à leur handicap, ravissant ainsi les spectateurs et les internautes. C'est le cas de Camila Müller, qui a porté un masque représentant les yeux de la super-héroïne Wonder Woman et son diadème, symboles de force et de courage.
Pour ajouter une touche personnelle à leur équipement, les athlètes choisissent des masques aux designs variés. Par exemple, Thalita Simplício a opté pour un masque orné d'une illustration urbaine, vraisemblablement celle de sa ville natale, Rio de Janeiro, au Brésil. Les internautes ont exprimé leur admiration avec des commentaires tels que « Vous êtes tellement géniales », « Mention spéciale pour Wonder Woman et la femme papillon », et « Que des super-héroïnes, des femmes extraordinaires et courageuses ».
Selon l'OMAR (Observatoire des maladies rares), la sportive souffrirait de rétinite pigmentaire, une maladie rétinienne dégénérative héréditaire affectant environ 1,5 million de personnes dans le monde. Cette condition provoque une perte progressive de la vision nocturne et du champ visuel périphérique, pouvant conduire à une diminution de l’acuité visuelle et, dans certains cas, à la cécité.
À l'instar d'Arjola Dedaj, d'autres athlètes ont choisi d'ajouter une touche de glamour ou d'humour à leur handicap, ravissant ainsi les spectateurs et les internautes. C'est le cas de Camila Müller, qui a porté un masque représentant les yeux de la super-héroïne Wonder Woman et son diadème, symboles de force et de courage.
Pour ajouter une touche personnelle à leur équipement, les athlètes choisissent des masques aux designs variés. Par exemple, Thalita Simplício a opté pour un masque orné d'une illustration urbaine, vraisemblablement celle de sa ville natale, Rio de Janeiro, au Brésil. Les internautes ont exprimé leur admiration avec des commentaires tels que « Vous êtes tellement géniales », « Mention spéciale pour Wonder Woman et la femme papillon », et « Que des super-héroïnes, des femmes extraordinaires et courageuses ».