Une victoire et une qualification à Anfield, le mythique et enflammé antre des sextuples vainqueurs de la plus prestigieuse compétition européenne de clubs, constitueraient l'un des plus grands exploits de l'histoire du PSG.
Cependant, la domination des Parisiens lors du match aller, bien que mal récompensée, leur laisse un espoir raisonnable.
Surtout que Luis Enrique, habitué aux retournements de situations délicates, est l'homme de la "remontada" barcelonaise de 2017 contre le PSG, lorsqu'il entraînait le Barça (défaite 4-0 à Paris, victoire 6-1 à Barcelone).
Passé de l'autre côté, il a su trouver les leviers psychologiques pour motiver ses joueurs l’an passé : Paris avait renversé les Catalans en quart de finale (défaite 2-3 au Parc des Princes, victoire 4-1 à Montjuïc).
Pour ce grand rendez-vous, l’effectif parisien est au complet, comme lors du match aller au Parc des Princes, où le PSG a été puni sur le fil par des Reds hyper réalistes (deux tirs, un but), mais bousculés comme jamais cette saison.
En s'élevant à un niveau impressionnant, le PSG, pourtant très inefficace au match aller (27 tirs), devra cette fois régler la mire.
Certes, le gardien des Reds, Alisson Becker, a reconnu avoir réalisé le match de sa vie avec neuf arrêts, dont deux très difficiles. Mais les Parisiens ne sont pas exempts de reproches.
Pour briser la défense de fer des Anglais, ils compteront sur Ousmane Dembélé, irrésistible depuis le début de l’année, ainsi que sur Bradley Barcola, Désiré Doué et Khvitcha Kvaratskhelia. Tous devront faire preuve de plus de rigueur et de précision, comme ils l’ont démontré ce week-end en championnat contre Rennes (victoire 4-1), où Dembélé a inscrit un doublé en 30 minutes.
La recrue géorgienne Kvaratskhelia prend de l'ampleur et s’intègre progressivement dans cette équipe dynamique et toujours en mouvement, qui n’a jamais aussi bien joué ensemble.
"J’adore le foot, je m’amuse bien, j’essaye de proposer quelque chose de beau, mais surtout d’aider mon équipe à marquer des buts", a-t-il déclaré lundi, précisant que son adaptation "était allée très vite".
En face, Mohamed Salah, parfaitement maîtrisé par Nuno Mendes la semaine dernière, sera attendu pour guider son équipe, qui fera tout pour éviter de se faire dominer deux fois de suite par le même adversaire.
Même si elle a été marquée psychologiquement par la domination parisienne, l'armada de Liverpool va hausser son niveau de jeu à Anfield, où aucune erreur de concentration ne sera permise, que ce soit pour Nuno Mendes ou le gardien Gianluigi Donnarumma, pris en défaut sur le but des Reds au Parc.
Les autres rencontres des huitièmes de finale retour se dérouleront comme suit :
Cependant, la domination des Parisiens lors du match aller, bien que mal récompensée, leur laisse un espoir raisonnable.
Surtout que Luis Enrique, habitué aux retournements de situations délicates, est l'homme de la "remontada" barcelonaise de 2017 contre le PSG, lorsqu'il entraînait le Barça (défaite 4-0 à Paris, victoire 6-1 à Barcelone).
Passé de l'autre côté, il a su trouver les leviers psychologiques pour motiver ses joueurs l’an passé : Paris avait renversé les Catalans en quart de finale (défaite 2-3 au Parc des Princes, victoire 4-1 à Montjuïc).
"Tout au long de ma carrière, je me suis rendu compte que parfois les situations les plus compliquées sont aussi les plus intéressantes à gérer", a déclaré l'Espagnol, déterminé à faire face à ce défi sans aucune retenue.
Pour ce grand rendez-vous, l’effectif parisien est au complet, comme lors du match aller au Parc des Princes, où le PSG a été puni sur le fil par des Reds hyper réalistes (deux tirs, un but), mais bousculés comme jamais cette saison.
En s'élevant à un niveau impressionnant, le PSG, pourtant très inefficace au match aller (27 tirs), devra cette fois régler la mire.
Certes, le gardien des Reds, Alisson Becker, a reconnu avoir réalisé le match de sa vie avec neuf arrêts, dont deux très difficiles. Mais les Parisiens ne sont pas exempts de reproches.
Pour briser la défense de fer des Anglais, ils compteront sur Ousmane Dembélé, irrésistible depuis le début de l’année, ainsi que sur Bradley Barcola, Désiré Doué et Khvitcha Kvaratskhelia. Tous devront faire preuve de plus de rigueur et de précision, comme ils l’ont démontré ce week-end en championnat contre Rennes (victoire 4-1), où Dembélé a inscrit un doublé en 30 minutes.
La recrue géorgienne Kvaratskhelia prend de l'ampleur et s’intègre progressivement dans cette équipe dynamique et toujours en mouvement, qui n’a jamais aussi bien joué ensemble.
"J’adore le foot, je m’amuse bien, j’essaye de proposer quelque chose de beau, mais surtout d’aider mon équipe à marquer des buts", a-t-il déclaré lundi, précisant que son adaptation "était allée très vite".
En face, Mohamed Salah, parfaitement maîtrisé par Nuno Mendes la semaine dernière, sera attendu pour guider son équipe, qui fera tout pour éviter de se faire dominer deux fois de suite par le même adversaire.
Même si elle a été marquée psychologiquement par la domination parisienne, l'armada de Liverpool va hausser son niveau de jeu à Anfield, où aucune erreur de concentration ne sera permise, que ce soit pour Nuno Mendes ou le gardien Gianluigi Donnarumma, pris en défaut sur le but des Reds au Parc.
"J’ai été impressionné par leur intensité, leur cohésion et leurs permutations au milieu de terrain", a reconnu lundi Arne Slot, l’entraîneur de Liverpool.
"Certains ont dit qu’on avait mal joué mercredi, mais je ne suis pas d’accord. Je pense que ce sont eux qui ont joué extrêmement bien. Jusqu’à présent, on n’avait pas affronté une équipe avec autant de qualités", a-t-il ajouté.
"Ce mardi, nous assisterons à un match entre deux des meilleures équipes d’Europe. Celle qui l’emportera aura les moyens d’aller jusqu’au bout", a conclu Luis Enrique.
Les autres rencontres des huitièmes de finale retour se dérouleront comme suit :
