Selon un rapport récent de la Banque mondiale et de l’Observatoire TPME du Maroc, 53 % des entreprises créées au Maroc survivent au-delà de cinq ans. Bien que ce chiffre soit prometteur, il souligne aussi les défis auxquels font face les jeunes entreprises pour perdurer dans un environnement économique complexe.
Ce taux de survie relativement élevé par rapport à d’autres pays africains montre que le Maroc a su créer un climat favorable à l’entrepreneuriat. Cependant, de nombreux obstacles persistent, notamment l'accès au financement, la fiscalité lourde, et les difficultés liées à la gestion administrative. Ce constat souligne l’importance de renforcer l’accompagnement des petites et moyennes entreprises (PME) pour assurer une croissance pérenne.
En comparaison avec d’autres pays émergents, comme le Brésil ou l’Inde, où les taux de survie sont souvent inférieurs à 50 %, le Maroc se positionne favorablement. Toutefois, des pays comme la Malaisie ou le Chili ont des taux supérieurs grâce à des politiques de soutien aux entreprises mieux adaptées.
Pour améliorer ces chiffres, le Maroc devra continuer à réformer son environnement entrepreneurial, en facilitant l'accès au crédit, en simplifiant les démarches administratives, et en soutenant les jeunes entreprises avec des programmes adaptés. Cependant, l'incertitude quant à la capacité du gouvernement à mener ces réformes persiste.
Ce taux de survie relativement élevé par rapport à d’autres pays africains montre que le Maroc a su créer un climat favorable à l’entrepreneuriat. Cependant, de nombreux obstacles persistent, notamment l'accès au financement, la fiscalité lourde, et les difficultés liées à la gestion administrative. Ce constat souligne l’importance de renforcer l’accompagnement des petites et moyennes entreprises (PME) pour assurer une croissance pérenne.
En comparaison avec d’autres pays émergents, comme le Brésil ou l’Inde, où les taux de survie sont souvent inférieurs à 50 %, le Maroc se positionne favorablement. Toutefois, des pays comme la Malaisie ou le Chili ont des taux supérieurs grâce à des politiques de soutien aux entreprises mieux adaptées.
Pour améliorer ces chiffres, le Maroc devra continuer à réformer son environnement entrepreneurial, en facilitant l'accès au crédit, en simplifiant les démarches administratives, et en soutenant les jeunes entreprises avec des programmes adaptés. Cependant, l'incertitude quant à la capacité du gouvernement à mener ces réformes persiste.