Déjà emprisonné pour des accusations graves de trafic sexuel, racket et transport en vue de la prostitution, l’artiste est désormais visé par une nouvelle plainte. Cette fois, c’est Bryana « Bana » Bongolan, une créatrice de mode, qui l’accuse de comportements violents et d’agressions sexuelles remontant à 2016. Ces révélations viennent s’ajouter à une série de plaintes similaires, mettant en lumière un schéma inquiétant autour de la star du hip-hop.
Selon les documents déposés devant la Cour supérieure de Los Angeles, les faits se seraient déroulés le 26 septembre 2016. Bryana Bongolan décrit une scène glaçante : après avoir repoussé les avances sexuelles du rappeur, elle aurait été suspendue par ce dernier au bord d’un balcon du 17e étage, avant d’être projetée contre un meuble de jardin. Ces actes violents auraient eu lieu dans l’appartement de Cassie Ventura, ex-petite amie de P. Diddy. La créatrice affirme également avoir été victime d’intimidations et de menaces répétées depuis leur première rencontre. Aujourd’hui, elle réclame 10 millions de dollars en dommages et intérêts.
Face à ces accusations, l’équipe juridique de P. Diddy nie fermement les faits. Dans un communiqué relayé par "Rolling Stone", ses avocats affirment que ces allégations sont infondées et que la vérité finira par éclater lors du procès prévu en mai prochain. « M. Combs a une confiance inébranlable dans l’équité du système judiciaire », ont-ils déclaré.
Cependant, cette nouvelle plainte ne fait qu’alourdir le dossier déjà accablant du rappeur. En novembre 2023, Cassie Ventura avait elle-même accusé son ancien compagnon de viols et de violences physiques et psychologiques avant qu’un accord financier ne clôture l’affaire. Pourtant, des images de vidéosurveillance publiées par CNN en mai dernier montrent clairement une agression physique entre les deux dans un hôtel de Los Angeles en 2016. Si P. Diddy avait initialement nié les faits, il s’était ensuite excusé publiquement via les réseaux sociaux.
Ce scandale soulève des questions cruciales sur le pouvoir et l’impunité dans l’industrie musicale. Alors que de nombreuses victimes présumées osent enfin s’exprimer, l’affaire P. Diddy pourrait bien marquer un tournant dans la lutte contre les abus dans ce milieu.
Selon les documents déposés devant la Cour supérieure de Los Angeles, les faits se seraient déroulés le 26 septembre 2016. Bryana Bongolan décrit une scène glaçante : après avoir repoussé les avances sexuelles du rappeur, elle aurait été suspendue par ce dernier au bord d’un balcon du 17e étage, avant d’être projetée contre un meuble de jardin. Ces actes violents auraient eu lieu dans l’appartement de Cassie Ventura, ex-petite amie de P. Diddy. La créatrice affirme également avoir été victime d’intimidations et de menaces répétées depuis leur première rencontre. Aujourd’hui, elle réclame 10 millions de dollars en dommages et intérêts.
Face à ces accusations, l’équipe juridique de P. Diddy nie fermement les faits. Dans un communiqué relayé par "Rolling Stone", ses avocats affirment que ces allégations sont infondées et que la vérité finira par éclater lors du procès prévu en mai prochain. « M. Combs a une confiance inébranlable dans l’équité du système judiciaire », ont-ils déclaré.
Cependant, cette nouvelle plainte ne fait qu’alourdir le dossier déjà accablant du rappeur. En novembre 2023, Cassie Ventura avait elle-même accusé son ancien compagnon de viols et de violences physiques et psychologiques avant qu’un accord financier ne clôture l’affaire. Pourtant, des images de vidéosurveillance publiées par CNN en mai dernier montrent clairement une agression physique entre les deux dans un hôtel de Los Angeles en 2016. Si P. Diddy avait initialement nié les faits, il s’était ensuite excusé publiquement via les réseaux sociaux.
Ce scandale soulève des questions cruciales sur le pouvoir et l’impunité dans l’industrie musicale. Alors que de nombreuses victimes présumées osent enfin s’exprimer, l’affaire P. Diddy pourrait bien marquer un tournant dans la lutte contre les abus dans ce milieu.