ChatGPT et Copilot accusés de pillage massif :
Selon les plaignants, OpenAI et Microsoft auraient volé des millions d'articles protégés par le droit d'auteur provenant de leurs publications, et ce sans aucune autorisation ni compensation. Ces articles auraient ensuite servi à entraîner les algorithmes d'intelligence artificielle qui alimentent ChatGPT et Copilot, l'outil de développement de code de Microsoft.
Les journaux accusent les entreprises de s'être enrichies sur le dos de leur travail, mettant en danger l'avenir du journalisme de qualité. L'enjeu est immense : si les accusations sont avérées, OpenAI et Microsoft pourraient être contraints de payer des dommages-intérêts considérables et de revoir en profondeur leurs pratiques.
Cette affaire pourrait avoir des répercussions importantes sur l'ensemble du secteur de l'intelligence artificielle. La question de l'utilisation des données et du respect des droits d'auteur est au cœur du développement de l'IA, et ce procès pourrait contribuer à définir les règles du jeu pour les années à venir.
Le combat s'annonce âpre et titanesque. D'un côté, les puissants géants de l'IA, OpenAI et Microsoft. De l'autre, des journaux américains déterminés à défendre leur propriété intellectuelle et l'avenir de leur profession. Le verdict de ce procès pourrait changer la face de l'intelligence artificielle.
Les journaux accusent les entreprises de s'être enrichies sur le dos de leur travail, mettant en danger l'avenir du journalisme de qualité. L'enjeu est immense : si les accusations sont avérées, OpenAI et Microsoft pourraient être contraints de payer des dommages-intérêts considérables et de revoir en profondeur leurs pratiques.
Cette affaire pourrait avoir des répercussions importantes sur l'ensemble du secteur de l'intelligence artificielle. La question de l'utilisation des données et du respect des droits d'auteur est au cœur du développement de l'IA, et ce procès pourrait contribuer à définir les règles du jeu pour les années à venir.
Le combat s'annonce âpre et titanesque. D'un côté, les puissants géants de l'IA, OpenAI et Microsoft. De l'autre, des journaux américains déterminés à défendre leur propriété intellectuelle et l'avenir de leur profession. Le verdict de ce procès pourrait changer la face de l'intelligence artificielle.