A lire ou à écouter en podcast :
Oui pour la « BLockchain » mais pour quel usage ?
En a-t-on trop fait ? Ou cela devait soulever plus d’une inquiétude ? La dernière transaction en date conclue en partie par le groupe OCP pour l’export des engrais phosphatés vers l’Éthiopie a fait grand bruit. Une transaction de 400 millions de dirhams sur deux tranches. 270 millions déjà versés, le reste suivra dans les semaines qui viennent.
Partout crie-t-on que c’est une première, car la technique mise en œuvre pour mener à bien cette transaction n’est autre que la fameuse « blockchain ». Pour faire simple, un système sécurisé qui permet l’acheminement des données ou des transactions financières.
Sauf que, et cela est digne d’être relevé pour émettre des réserves sur cette surexcitation qui érige l’OCP en une entreprise avant-gardiste, qui aurait utilisé ce système connu pour sa résilience, et sur lequel on ne tarit pas d’éloge.
Sauf que donc, et n’en déplaise aux zélateurs, le système hissé en modèle, confiné à l’unique tâche d’échanger en toute sécurité des documents, y apporter le nécessaire d’une modification, parapher le tout d’un commun accord, serait facilement interchangeable avec d’autres tout aussi performants à cet égard, et validant, par-là, ces mêmes critères.
A-t-on pris le risque de se fier à la crypto-monnaie ?
D’autres systèmes qui auraient, et selon l’avis de nombre d’experts en matière sécuritaire, donné lieu, et tout autant à un temps réduit eu égard des formalités à remplir. Et pour donner un ordre de grandeur, on parle de moins de deux heures plutôt que de semaines qui trainent en longueur. La technique « Blockchain » serait plutôt réputée pour mener à bien des transactions de nature financière. Raison pour laquelle une double inclusion s’impose d’elle-même entre Blockchain et crypto-monnaie.
En ce sens, que ce procédé tant prôné par les uns, surtout par les autres, et qui aurait présidé à cette transaction de taille ne peut être utilisé de façon optimale que si les 270 millions de dirhams acheminés jusque-là l’aurait été via la « Blockchain ». Mais ce n’est pas fini, car si cette coquette somme avait bel et bien transité par les « blocs » de la « chaine » en question, cela voudrait dire que l’OCP avait été payé en crypto-monnaie, et c’est là où nombre de point d’interrogations se bousculent jusqu’à nous !
Nous ne pouvons mieux citer que l’avis porté par notre gouverneur de BAM sur la monnaie virtuelle. Il fut bien question, dans la bouche du gouverneur de « Bitcoin ». Cette monnaie, et pour faire court, ne revint dans son expression que pour renvoyer, et aussi vite, au « Poker ».
En a-t-on trop fait ? Ou cela devait soulever plus d’une inquiétude ? La dernière transaction en date conclue en partie par le groupe OCP pour l’export des engrais phosphatés vers l’Éthiopie a fait grand bruit. Une transaction de 400 millions de dirhams sur deux tranches. 270 millions déjà versés, le reste suivra dans les semaines qui viennent.
Partout crie-t-on que c’est une première, car la technique mise en œuvre pour mener à bien cette transaction n’est autre que la fameuse « blockchain ». Pour faire simple, un système sécurisé qui permet l’acheminement des données ou des transactions financières.
Sauf que, et cela est digne d’être relevé pour émettre des réserves sur cette surexcitation qui érige l’OCP en une entreprise avant-gardiste, qui aurait utilisé ce système connu pour sa résilience, et sur lequel on ne tarit pas d’éloge.
Sauf que donc, et n’en déplaise aux zélateurs, le système hissé en modèle, confiné à l’unique tâche d’échanger en toute sécurité des documents, y apporter le nécessaire d’une modification, parapher le tout d’un commun accord, serait facilement interchangeable avec d’autres tout aussi performants à cet égard, et validant, par-là, ces mêmes critères.
A-t-on pris le risque de se fier à la crypto-monnaie ?
D’autres systèmes qui auraient, et selon l’avis de nombre d’experts en matière sécuritaire, donné lieu, et tout autant à un temps réduit eu égard des formalités à remplir. Et pour donner un ordre de grandeur, on parle de moins de deux heures plutôt que de semaines qui trainent en longueur. La technique « Blockchain » serait plutôt réputée pour mener à bien des transactions de nature financière. Raison pour laquelle une double inclusion s’impose d’elle-même entre Blockchain et crypto-monnaie.
En ce sens, que ce procédé tant prôné par les uns, surtout par les autres, et qui aurait présidé à cette transaction de taille ne peut être utilisé de façon optimale que si les 270 millions de dirhams acheminés jusque-là l’aurait été via la « Blockchain ». Mais ce n’est pas fini, car si cette coquette somme avait bel et bien transité par les « blocs » de la « chaine » en question, cela voudrait dire que l’OCP avait été payé en crypto-monnaie, et c’est là où nombre de point d’interrogations se bousculent jusqu’à nous !
Nous ne pouvons mieux citer que l’avis porté par notre gouverneur de BAM sur la monnaie virtuelle. Il fut bien question, dans la bouche du gouverneur de « Bitcoin ». Cette monnaie, et pour faire court, ne revint dans son expression que pour renvoyer, et aussi vite, au « Poker ».
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
Quel cadre juridique ?
un parallèle justifié, car la volatilité de cette crypto-monnaie échappe, graphes à l’appui, à la raison, serait-elle technique ou fondamentale, au vu même d’un spéculateur chevronné. Il est vrai, qu’il ne fut pas mention dans les grandes lignes de cette transaction en Bitcoin, mais ce serait le calcul des probabilités les plus improbables d’avoir eu recours à une autre monnaie cryptée, vu que ce dernier soit le mieux réputé dans sa catégorie.
D’abord, si la chose est avérée, comment a-t-on pu prendre tant de risque vu l’instabilité de la crypto-monnaie ? Puis, quel cadre juridique, le nôtre, car jusqu’à présent il n’y en a pas, a pu présider à une telle transaction ?
Hicham Aboumerrouane
un parallèle justifié, car la volatilité de cette crypto-monnaie échappe, graphes à l’appui, à la raison, serait-elle technique ou fondamentale, au vu même d’un spéculateur chevronné. Il est vrai, qu’il ne fut pas mention dans les grandes lignes de cette transaction en Bitcoin, mais ce serait le calcul des probabilités les plus improbables d’avoir eu recours à une autre monnaie cryptée, vu que ce dernier soit le mieux réputé dans sa catégorie.
D’abord, si la chose est avérée, comment a-t-on pu prendre tant de risque vu l’instabilité de la crypto-monnaie ? Puis, quel cadre juridique, le nôtre, car jusqu’à présent il n’y en a pas, a pu présider à une telle transaction ?
Hicham Aboumerrouane