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L’artiste de 35 ans avait initialement été renvoyé en correctionnelle en avril 2019 par un juge d’instruction ayant décidé de requalifier les faits en « agression sexuelle » et « violences aggravées ».
Mais la chambre de l’instruction avait ordonné en janvier 2020 son renvoi aux assises pour viol et il avait alors obtenu de la Cour de cassation l’annulation de cette décision.
Selon la cour d’appel, « il existe des charges suffisantes contre le chanteur marocain d’avoir commis, le 26 octobre 2016 à Paris, ce crime et ce délit — ivre et sous l’emprise de la coke — sur Laura P., alors âgée de 21 ans »
Et d’ajouter que « l’annulation en avril d’un arrêt similaire par la Cour de cassation pour des raisons de procédure n’aura été qu’un simple sursis. En 2019, le premier juge avait, en l’absence de l’ADN du suspect ailleurs que sur la culotte de sa victime, même requalifié les faits en agression sexuelle aggravée, relevant du tribunal correctionnel. Cette fois, il encourt 20 ans de réclusion ».
Les faits qu'elle dénonce se seraient déroulés sur fond d'alcool et de drogue dans la chambre d'un hôtel parisien, en octobre 2016, quelques jours avant un concert de l'artiste. Incarcéré dans la foulée, Saad Lamjarred avait été libéré sous bracelet électronique en avril 2017.
Dans cette même information judiciaire, l'artiste avait été mis en examen en avril 2017, accusé d'avoir violé et frappé une jeune Franco-Marocaine à Casablanca en 2015. La plaignante s'était ensuite mise en retrait de la procédure et le juge avait ordonné un non-lieu pour ce volet.
Il a également été mis en examen en août 2018 pour le viol d'une jeune femme à Saint-Tropez, sur la Côte d'Azur. Saad Lamjarred avait ensuite été incarcéré durant deux mois et demi avant d'être libéré et contraint de résider à Paris le temps de l'enquête, menée par un juge d'instruction de Draguignan (Var).
Mais la chambre de l’instruction avait ordonné en janvier 2020 son renvoi aux assises pour viol et il avait alors obtenu de la Cour de cassation l’annulation de cette décision.
Selon la cour d’appel, « il existe des charges suffisantes contre le chanteur marocain d’avoir commis, le 26 octobre 2016 à Paris, ce crime et ce délit — ivre et sous l’emprise de la coke — sur Laura P., alors âgée de 21 ans »
Et d’ajouter que « l’annulation en avril d’un arrêt similaire par la Cour de cassation pour des raisons de procédure n’aura été qu’un simple sursis. En 2019, le premier juge avait, en l’absence de l’ADN du suspect ailleurs que sur la culotte de sa victime, même requalifié les faits en agression sexuelle aggravée, relevant du tribunal correctionnel. Cette fois, il encourt 20 ans de réclusion ».
Les faits qu'elle dénonce se seraient déroulés sur fond d'alcool et de drogue dans la chambre d'un hôtel parisien, en octobre 2016, quelques jours avant un concert de l'artiste. Incarcéré dans la foulée, Saad Lamjarred avait été libéré sous bracelet électronique en avril 2017.
Dans cette même information judiciaire, l'artiste avait été mis en examen en avril 2017, accusé d'avoir violé et frappé une jeune Franco-Marocaine à Casablanca en 2015. La plaignante s'était ensuite mise en retrait de la procédure et le juge avait ordonné un non-lieu pour ce volet.
Il a également été mis en examen en août 2018 pour le viol d'une jeune femme à Saint-Tropez, sur la Côte d'Azur. Saad Lamjarred avait ensuite été incarcéré durant deux mois et demi avant d'être libéré et contraint de résider à Paris le temps de l'enquête, menée par un juge d'instruction de Draguignan (Var).
Selon Le Monde