Dans son discours à la nation à l'occasion du vingt-deuxième anniversaire de la Fête du Trône, SM le Roi Mohammed VI a affirmé que « comme ce fut le cas dans la phase de préparation, nous considérons la mise en œuvre de ce modèle comme une responsabilité nationale, ce qui requiert la participation de toutes les énergies et compétences de la nation, notamment celles qui assumeront des responsabilités gouvernementales et publiques au cours des années à venir ».
SM le Roi a en outre exprimé son aspiration à ce que le « Pacte National pour le Développement » soit un cadre de référence des principes et priorités de développement, et un contrat économique et social qui établirait une nouvelle « Révolution du le Roi et du peuple ».
SM a d’ailleurs appuyé son propos indiquant que : « En tant que gardien des intérêts de la nation et des citoyens, nous veillerons à suivre le rythme de cette implémentation, avec les procédures et mécanismes nécessaires », notant que les propositions du comité « permettent le lancement d'une nouvelle phase pour accélérer le décollage économique et consolider le projet de société que nous souhaitons pour notre pays ».
À cet égard, le succès de la mise en œuvre du Nouveau Modèle de Développement est lié au degré d'harmonie du prochain gouvernement, et à son adoption d'une feuille de route bien définie qui tient sa référence du Pacte national pour le développement.
Cette charte, qui est un contrat économique et social, instaure une nouvelle « Révolution du Roi du Peuple » et une étape décisive dans le renouvellement des approches sociétales liées à la gestion des mécanismes de développement tant aux niveau national que régional.
Le gouvernement actuel a théoriquement participé à l'étape de préparation de ce modèle, le prochain gouvernement est par contre tenu de placer l’application de ce modèle de développement au cœur des pourparlers de formation du gouvernement pour s'assurer que ses exigences soient réalisées et protégées de toute manœuvre politique susceptible de perturber ou d'entraver les efforts visant à accélérer la mise en œuvre de ses plans.
Si SM le Roi insiste sur la volonté de « suivre le rythme » de cette implémentation, le prochain gouvernement devrait être soucieux d'encourager et d'installer les énergies et les compétences de la nation capables de tenir la cadence de ce chantier stratégique, et les partis politiques devraient suggérer des noms capables de conduire la prochaine étape loin de la surenchère politique ou des calculs partisans ou syndicaux étroits.
Le prochain gouvernement devrait donc, plus que jamais, adopter une approche participative constructive et positive vis-à-vis des acteurs économiques, syndicaux et sociaux et des composantes de la société civile pour faciliter leur intégration dans la concrétisation de ce Projet de développement serait-on tentés de dire. Faut-il rappeler que la politique politicienne est souvent source d’entrave au développement ?
SM le Roi a en outre exprimé son aspiration à ce que le « Pacte National pour le Développement » soit un cadre de référence des principes et priorités de développement, et un contrat économique et social qui établirait une nouvelle « Révolution du le Roi et du peuple ».
SM a d’ailleurs appuyé son propos indiquant que : « En tant que gardien des intérêts de la nation et des citoyens, nous veillerons à suivre le rythme de cette implémentation, avec les procédures et mécanismes nécessaires », notant que les propositions du comité « permettent le lancement d'une nouvelle phase pour accélérer le décollage économique et consolider le projet de société que nous souhaitons pour notre pays ».
À cet égard, le succès de la mise en œuvre du Nouveau Modèle de Développement est lié au degré d'harmonie du prochain gouvernement, et à son adoption d'une feuille de route bien définie qui tient sa référence du Pacte national pour le développement.
Cette charte, qui est un contrat économique et social, instaure une nouvelle « Révolution du Roi du Peuple » et une étape décisive dans le renouvellement des approches sociétales liées à la gestion des mécanismes de développement tant aux niveau national que régional.
Le gouvernement actuel a théoriquement participé à l'étape de préparation de ce modèle, le prochain gouvernement est par contre tenu de placer l’application de ce modèle de développement au cœur des pourparlers de formation du gouvernement pour s'assurer que ses exigences soient réalisées et protégées de toute manœuvre politique susceptible de perturber ou d'entraver les efforts visant à accélérer la mise en œuvre de ses plans.
Si SM le Roi insiste sur la volonté de « suivre le rythme » de cette implémentation, le prochain gouvernement devrait être soucieux d'encourager et d'installer les énergies et les compétences de la nation capables de tenir la cadence de ce chantier stratégique, et les partis politiques devraient suggérer des noms capables de conduire la prochaine étape loin de la surenchère politique ou des calculs partisans ou syndicaux étroits.
Le prochain gouvernement devrait donc, plus que jamais, adopter une approche participative constructive et positive vis-à-vis des acteurs économiques, syndicaux et sociaux et des composantes de la société civile pour faciliter leur intégration dans la concrétisation de ce Projet de développement serait-on tentés de dire. Faut-il rappeler que la politique politicienne est souvent source d’entrave au développement ?