Michael Lohscheller à la tête :
Ce changement de leadership survient à un moment critique pour Polestar, qui, comme d'autres acteurs du secteur, fait face à des défis de rentabilité.
Lohscheller, ancien dirigeant d’Opel, VinFast et Nikola, apporte avec lui une vaste expérience dans l’industrie automobile. Dans un communiqué, Polestar a souligné que son expertise serait cruciale pour naviguer dans les eaux tumultueuses du marché actuel. En effet, la marque prévoit de lancer ses modèles électriques en France en 2025, marquant ainsi une étape importante dans son expansion européenne.
Winfried Vahland, le nouveau président de Polestar, a exprimé sa confiance en Lohscheller, déclarant qu'il est le leader idéal pour guider l’entreprise vers sa prochaine phase de croissance. Le nouveau CEO a également partagé son enthousiasme à rejoindre une marque qu'il considère comme l’une des plus innovantes au monde. Cependant, le départ de Thomas Ingenlath, qui se dit fier des réalisations de Polestar, laisse un héritage à relever.
Malgré ces changements prometteurs, la situation de Polestar reste délicate. En janvier 2024, l’entreprise a dû réduire sa masse salariale de 15 % en raison de « conditions de marché difficiles ». Cette décision souligne la nécessité pour Polestar de dégager des marges bénéficiaires, un défi que Lohscheller devra relever rapidement. Les attentes sont donc élevées pour le nouveau patron, qui devra transformer la vision ambitieuse de Polestar en résultats tangibles.
Lohscheller, ancien dirigeant d’Opel, VinFast et Nikola, apporte avec lui une vaste expérience dans l’industrie automobile. Dans un communiqué, Polestar a souligné que son expertise serait cruciale pour naviguer dans les eaux tumultueuses du marché actuel. En effet, la marque prévoit de lancer ses modèles électriques en France en 2025, marquant ainsi une étape importante dans son expansion européenne.
Winfried Vahland, le nouveau président de Polestar, a exprimé sa confiance en Lohscheller, déclarant qu'il est le leader idéal pour guider l’entreprise vers sa prochaine phase de croissance. Le nouveau CEO a également partagé son enthousiasme à rejoindre une marque qu'il considère comme l’une des plus innovantes au monde. Cependant, le départ de Thomas Ingenlath, qui se dit fier des réalisations de Polestar, laisse un héritage à relever.
Malgré ces changements prometteurs, la situation de Polestar reste délicate. En janvier 2024, l’entreprise a dû réduire sa masse salariale de 15 % en raison de « conditions de marché difficiles ». Cette décision souligne la nécessité pour Polestar de dégager des marges bénéficiaires, un défi que Lohscheller devra relever rapidement. Les attentes sont donc élevées pour le nouveau patron, qui devra transformer la vision ambitieuse de Polestar en résultats tangibles.