Article à écouter en podcast
Des milliards de masques sont utilisés chaque mois partout dans le monde pour se protéger de la Covid-19, une pratique qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur nos écosystèmes. Selon des études récentes, 129 milliards de masques sont utilisés chaque mois. C’est l’équivalent de presque 3 millions par minute.
La plupart sont jetables et sont composés à plus de 80 % de microfibres de plastique. Si ces masques se retrouvent dans la nature, il pourront mettre jusqu’à 450 ans pour se décomposer. Même si nous jetons nos masques au bon endroit, à savoir la poubelle, ils ne sont pas nécessairement recyclés. Selon les études, 75 % des masques en plastique finissent dans les décharges ou les écosystèmes. Ensuite, les micro et nano-plastiques se dispersent dans les milieux terrestres, aquatiques et marins.
Les chercheurs cités par la revue scientifique Frontiers of Environmental Science & Engineering ont appelé à lancer des recherche sur la dégradation des masques buccaux et leur impact, surtout après l’augmentation spectaculaire de leur utilisation : En un an, ce marché est passé de 670 millions à 140 milliards d’euros. Les scientifiques ont également suggéré la collecte séparée des masques buccaux et le développement de masques biodégradables.
La plupart sont jetables et sont composés à plus de 80 % de microfibres de plastique. Si ces masques se retrouvent dans la nature, il pourront mettre jusqu’à 450 ans pour se décomposer. Même si nous jetons nos masques au bon endroit, à savoir la poubelle, ils ne sont pas nécessairement recyclés. Selon les études, 75 % des masques en plastique finissent dans les décharges ou les écosystèmes. Ensuite, les micro et nano-plastiques se dispersent dans les milieux terrestres, aquatiques et marins.
Les chercheurs cités par la revue scientifique Frontiers of Environmental Science & Engineering ont appelé à lancer des recherche sur la dégradation des masques buccaux et leur impact, surtout après l’augmentation spectaculaire de leur utilisation : En un an, ce marché est passé de 670 millions à 140 milliards d’euros. Les scientifiques ont également suggéré la collecte séparée des masques buccaux et le développement de masques biodégradables.