Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Pas de confiture, juste un avenir droit,
Du travail, de la justice, voilà leur combat.
Ils crient pour l'équité, la dignité, la vie,
Pour que demain soit fait d'espoir et d’envie.
Sous l’ombre de Fnidek, des vies s’évanouissent,
Sous le poids des tempêtes, leurs rêves s’engloutissent.
La mer dévore en silence ces âmes en errance,
Pour un futur meilleur, ils fuient la souffrance.
Des jeunes sans espoir, nos NEET désemparés,
Leurs cœurs battent fort, mais leurs cris sont muets.
Ils ne cherchent plus l’or ni des promesses vaines,
Mais du travail honnête qui apaise leurs peines.
Des mains tendues vers l’horizon incertain,
Leur destin, disent-ils, ne peut rester en vain.
L’éducation promise est leur phare, leur appui,
Mais leurs universités, désertes sous la pluie.
Ils réclament des écoles dignes de leur temps,
Pour que la connaissance éclaire leurs élans.
La justice, l’équité, telles des étoiles lointaines,
Brillent dans leurs espoirs, au-delà de leurs chaînes.
Ils demandent un Maroc de probité, sincère,
Où la corruption cesse de saper leur terre.
Des hôpitaux en ruine, des vies qui se fanent,
Des logements décents, voilà ce qu’ils réclament.
Ils rêvent d’un urbanisme qui anticipe demain,
D’un transport efficace qui trace leur chemin.
Mais trop de souffrances, de discours inouïs,
Trop de jeunes fauchés sans un dernier cri.
Fnidek devient le signe d’un appel sourd,
Un Maroc en marche, espérant le jour.
Nos NEET, dans leur douleur, lancent un chant nouveau,
Pas de confiture, mais un avenir beau.
Plus de paroles creuses, des actes exigés,
Pour que leurs rêves enfin puissent être exaucés.
Du travail, de la justice, voilà leur combat.
Ils crient pour l'équité, la dignité, la vie,
Pour que demain soit fait d'espoir et d’envie.
Sous l’ombre de Fnidek, des vies s’évanouissent,
Sous le poids des tempêtes, leurs rêves s’engloutissent.
La mer dévore en silence ces âmes en errance,
Pour un futur meilleur, ils fuient la souffrance.
Des jeunes sans espoir, nos NEET désemparés,
Leurs cœurs battent fort, mais leurs cris sont muets.
Ils ne cherchent plus l’or ni des promesses vaines,
Mais du travail honnête qui apaise leurs peines.
Des mains tendues vers l’horizon incertain,
Leur destin, disent-ils, ne peut rester en vain.
L’éducation promise est leur phare, leur appui,
Mais leurs universités, désertes sous la pluie.
Ils réclament des écoles dignes de leur temps,
Pour que la connaissance éclaire leurs élans.
La justice, l’équité, telles des étoiles lointaines,
Brillent dans leurs espoirs, au-delà de leurs chaînes.
Ils demandent un Maroc de probité, sincère,
Où la corruption cesse de saper leur terre.
Des hôpitaux en ruine, des vies qui se fanent,
Des logements décents, voilà ce qu’ils réclament.
Ils rêvent d’un urbanisme qui anticipe demain,
D’un transport efficace qui trace leur chemin.
Mais trop de souffrances, de discours inouïs,
Trop de jeunes fauchés sans un dernier cri.
Fnidek devient le signe d’un appel sourd,
Un Maroc en marche, espérant le jour.
Nos NEET, dans leur douleur, lancent un chant nouveau,
Pas de confiture, mais un avenir beau.
Plus de paroles creuses, des actes exigés,
Pour que leurs rêves enfin puissent être exaucés.
Ce poème met en lumière la détresse des jeunes NEET marocains à travers les tragédies récentes de Fnidek, où beaucoup tentent de fuir leur pays en quête d’un avenir meilleur.
Ils expriment des revendications claires et urgentes : ils ne cherchent plus des promesses vides ou des solutions temporaires, mais du travail digne, des écoles de qualité, des hôpitaux fonctionnels, et une justice équitable.
Leurs rêves sont bridés par la corruption, l'absence de réformes et des infrastructures défaillantes. Leur appel va au-delà de la simple survie, ils demandent des actions concrètes pour construire un futur où ils peuvent prospérer.
Le refrain répète leur refus des discours vides et leur exigence d'un avenir basé sur la dignité, l'équité et la justice. Ce poème est un cri désespéré pour un Maroc plus juste, où chaque jeune peut espérer un avenir meilleur.
Leurs rêves sont bridés par la corruption, l'absence de réformes et des infrastructures défaillantes. Leur appel va au-delà de la simple survie, ils demandent des actions concrètes pour construire un futur où ils peuvent prospérer.
Le refrain répète leur refus des discours vides et leur exigence d'un avenir basé sur la dignité, l'équité et la justice. Ce poème est un cri désespéré pour un Maroc plus juste, où chaque jeune peut espérer un avenir meilleur.