Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Dans la clarté du jour, les fumeurs démunis,
Cherchent en vain leur pipe, leur plaisir aboli.
Sous les cieux marocains, la pipe est or volé,
Le tabac de contrebande dans l'ombre étouffé.
Les marchands clandestins, dans l'ombre se déploient,
Offrant aux désespérés le feu des lois d'effroi.
Fumeurs aux traits crispés, rêvant d’un autre temps,
Quand la fumée sacrée coulait dans l’air flottant.
Les autorités grondent, mais nul ne les entend,
Car la pipe murmure des secrets triomphants.
Le marché noir prospère, comme un désert sans fin,
Où l’or du tabac brille, échappant au destin.
Dans les ruelles sombres, des figures furtives,
Échangent à la hâte des volutes captives.
Les justes se révoltent contre l’ordre imposé,
Car la pipe est un droit que nul ne doit briser.
Des voix montent au ciel, en volutes de rage,
Le fumeur est vainqueur, malgré tout esclavage.
Ô douce pipe antique, ta flamme est immortelle,
Ni taxe, ni décret n’éteindra ta chandelle.
Le vent porte la plainte des cœurs accablés,
Que la fumée des justes éclaire les damnés.
Sous l’emprise du noir, les fumeurs insoumis,
Revendiquent leur droit, refusant l’ennemi.
Les douanes sont en guerre, mais rien n’est arrêté,
La flamme du rebelle ne peut être domptée.
Le fumeur dans la nuit, d’un souffle s’élève,
Et dans la pipe sacrée, il trouve son rêve.
Le combat se poursuit, la fumée s’échappe,
Les cœurs en ébullition vibrent sous la grappe.
Dans les recoins du jour, la révolte s'écrit,
Sous chaque bouffée d’air, un serment est inscrit.
Ô Maroc enfiévré, tes fils ne plieront,
Face à la loi du tabac, leurs âmes se dresseront.
Cherchent en vain leur pipe, leur plaisir aboli.
Sous les cieux marocains, la pipe est or volé,
Le tabac de contrebande dans l'ombre étouffé.
Les marchands clandestins, dans l'ombre se déploient,
Offrant aux désespérés le feu des lois d'effroi.
Fumeurs aux traits crispés, rêvant d’un autre temps,
Quand la fumée sacrée coulait dans l’air flottant.
Les autorités grondent, mais nul ne les entend,
Car la pipe murmure des secrets triomphants.
Le marché noir prospère, comme un désert sans fin,
Où l’or du tabac brille, échappant au destin.
Dans les ruelles sombres, des figures furtives,
Échangent à la hâte des volutes captives.
Les justes se révoltent contre l’ordre imposé,
Car la pipe est un droit que nul ne doit briser.
Des voix montent au ciel, en volutes de rage,
Le fumeur est vainqueur, malgré tout esclavage.
Ô douce pipe antique, ta flamme est immortelle,
Ni taxe, ni décret n’éteindra ta chandelle.
Le vent porte la plainte des cœurs accablés,
Que la fumée des justes éclaire les damnés.
Sous l’emprise du noir, les fumeurs insoumis,
Revendiquent leur droit, refusant l’ennemi.
Les douanes sont en guerre, mais rien n’est arrêté,
La flamme du rebelle ne peut être domptée.
Le fumeur dans la nuit, d’un souffle s’élève,
Et dans la pipe sacrée, il trouve son rêve.
Le combat se poursuit, la fumée s’échappe,
Les cœurs en ébullition vibrent sous la grappe.
Dans les recoins du jour, la révolte s'écrit,
Sous chaque bouffée d’air, un serment est inscrit.
Ô Maroc enfiévré, tes fils ne plieront,
Face à la loi du tabac, leurs âmes se dresseront.
Ce poème exprime la révolte des fumeurs de pipe face aux restrictions imposées sur le tabac de pipe
Il dépeint un paysage où les fumeurs, frustrés et privés de leur plaisir, cherchent désespérément à préserver leur droit à la pipe, symbole de liberté. La contrebande de tabac, prospérant dans l’ombre, devient un refuge pour ces fumeurs qui défient l’autorité.
Les autorités tentent de lutter contre ce commerce illégal, mais la résistance persiste. Le poème est imprégné d’une forte symbolique où la pipe représente la rébellion contre l’oppression fiscale et législative. Le refrain, en ouverture et en clôture, réaffirme l’attachement indéfectible des fumeurs à cette tradition, incarnant ainsi une lutte pour la liberté face aux contraintes. Le poème mêle nostalgie, résistance et espoir.
Les autorités tentent de lutter contre ce commerce illégal, mais la résistance persiste. Le poème est imprégné d’une forte symbolique où la pipe représente la rébellion contre l’oppression fiscale et législative. Le refrain, en ouverture et en clôture, réaffirme l’attachement indéfectible des fumeurs à cette tradition, incarnant ainsi une lutte pour la liberté face aux contraintes. Le poème mêle nostalgie, résistance et espoir.