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La cité ocre a abrité les travaux de l’Assemblée Générale de l’Internationale Démocratique du Centre (IDC), qui a connu la participation de plusieurs représentants des partis membres de cette organisation venus d’Europe, d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie et des personnalités de renommée internationale telles que le Premier ministre hongrois Viktor Orban, l’eurodéputé espagnol Antonio López-Istúriz White, ou encore le président du Cap Vert, José Ulisses Correia.
En marge de la réunion de l’Assemblée Générale de l’Exécutif de l’IDC, une session de discussion d’envergure internationale a été organisée, vendredi à Marrakech, sous le thème: « la crise de la démocratie représentative », ayant réuni de nombreuses personnalités.
Dans son allocution à l’ouverture du séminaire, Baraka a mis en lumière le lien étroit entre les inégalités sociales et la confiance dans les institutions politiques, rappelant la nécessité de comprendre les causes du déclin de cette confiance. Il a évoqué plusieurs facteurs, dont la mondialisation, l’instabilité croissante, l’entrée du monde dans l’incertitude et l’émergence de mouvements séparatistes et populistes à l’échelle internationale.
Nizar Baraka a mis en avant les efforts du Maroc pour promouvoir la démocratie grâce aux Hautes Orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et à l’évolution constitutionnelle de 2011, qui a donné une forte impulsion à la démocratie et au développement de l’action politique au Maroc. Il a dans ce sillage rappelé les grandes réformes sociales menées par le Royaume, notamment la généralisation de la couverture sociale.
Il a aussi mis en relief l’importance de cette conférence pour trouver des solutions à même de répondre à cette problématique, expliquant que cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une évolution internationale ayant favorisé l’émergence de mouvements populistes à travers le monde.
Tout en revenant sur l’état actuel de l’échiquier international, marqué par l’instabilité et la résurgence des conflits, le leader du parti de la balance a appelé à plus de coopération entre les Etats afin de surmonter les défis actuels tels que le réchauffement climatique et la transition numérique.
Nizar Baraka a mis l’accent sur l’importance d’une vision stratégique à long terme, l’adaptation aux mutations que connaît le monde et l’interaction avec les attentes des citoyens en œuvrant à honorer les engagements pour surmonter les problèmes posés.
Changement de paradigme « Nord-Sud » Nizar Baraka a par ailleurs souligné qu’il est temps de dépasser le paradigme Nord-Sud, affirmant que les pays du Sud peuvent créer des solutions qui répondent adéquatement aux problèmes qui menacent aujourd’hui les pays et leur souveraineté, en vue d’un développement plus harmonieux et la réussite des diverses transitions économique, énergétique, numérique et technologique que connaît le monde.
Le SG de l’Istiqlal a dénoncé dans ce registre tous les mouvements séparatistes qui conduisent à l’instabilité et à la propagation de la violence. Une position partagée par l’IDC qui a condamné tous ces mouvements et les pays qui accueillent, financent et arment ces mouvements séparatistes.
De son côté, le SG de l’IDC a exprimé ses remerciements au Parti de l’Istiqlal pour l’accueil des travaux de cette Assemblée Générale, dont l’ordre du jour comporte l’examen d’une série de questions liées à la démocratie mondiale, se félicitant de l’expérience marocaine en matière de développement durable, notamment dans le domaine de l’utilisation de l’hydrogène.
Lopez Isturiz a, d’autre part, mis en avant le rôle du Maroc en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans le monde. Pour sa part, le président de l’Internationale Démocratique du Centre, Andres Pastrana, a expliqué que cette Assemblée Générale intervient dans le contexte de la mondialisation et de son impact sur les politiques nationales, notant que cette réunion aborde des questions et problématiques liées notamment à l’immigration en Amérique latine et en Afrique, à l’instabilité dans le monde, aux guerres dans certaines régions et aux réseaux de trafic, ainsi qu’au changement climatique.
Cette réunion a été aussi l’occasion pour des membres du Comité de souligner « le contexte que nous vivons avec beaucoup d’incertitude, surtout dans un climat de tension géopolitique et de guerre dans certaines régions de par le monde et d’œuvrer à trouver des approches à même de permettre de répondre à ces problématiques », a-t-il relevé.
En marge de la réunion de l’Assemblée Générale de l’Exécutif de l’IDC, une session de discussion d’envergure internationale a été organisée, vendredi à Marrakech, sous le thème: « la crise de la démocratie représentative », ayant réuni de nombreuses personnalités.
Dans son allocution à l’ouverture du séminaire, Baraka a mis en lumière le lien étroit entre les inégalités sociales et la confiance dans les institutions politiques, rappelant la nécessité de comprendre les causes du déclin de cette confiance. Il a évoqué plusieurs facteurs, dont la mondialisation, l’instabilité croissante, l’entrée du monde dans l’incertitude et l’émergence de mouvements séparatistes et populistes à l’échelle internationale.
Nizar Baraka a mis en avant les efforts du Maroc pour promouvoir la démocratie grâce aux Hautes Orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et à l’évolution constitutionnelle de 2011, qui a donné une forte impulsion à la démocratie et au développement de l’action politique au Maroc. Il a dans ce sillage rappelé les grandes réformes sociales menées par le Royaume, notamment la généralisation de la couverture sociale.
Il a aussi mis en relief l’importance de cette conférence pour trouver des solutions à même de répondre à cette problématique, expliquant que cette rencontre s’inscrit dans le cadre d’une évolution internationale ayant favorisé l’émergence de mouvements populistes à travers le monde.
Tout en revenant sur l’état actuel de l’échiquier international, marqué par l’instabilité et la résurgence des conflits, le leader du parti de la balance a appelé à plus de coopération entre les Etats afin de surmonter les défis actuels tels que le réchauffement climatique et la transition numérique.
Nizar Baraka a mis l’accent sur l’importance d’une vision stratégique à long terme, l’adaptation aux mutations que connaît le monde et l’interaction avec les attentes des citoyens en œuvrant à honorer les engagements pour surmonter les problèmes posés.
Changement de paradigme « Nord-Sud » Nizar Baraka a par ailleurs souligné qu’il est temps de dépasser le paradigme Nord-Sud, affirmant que les pays du Sud peuvent créer des solutions qui répondent adéquatement aux problèmes qui menacent aujourd’hui les pays et leur souveraineté, en vue d’un développement plus harmonieux et la réussite des diverses transitions économique, énergétique, numérique et technologique que connaît le monde.
Le SG de l’Istiqlal a dénoncé dans ce registre tous les mouvements séparatistes qui conduisent à l’instabilité et à la propagation de la violence. Une position partagée par l’IDC qui a condamné tous ces mouvements et les pays qui accueillent, financent et arment ces mouvements séparatistes.
De son côté, le SG de l’IDC a exprimé ses remerciements au Parti de l’Istiqlal pour l’accueil des travaux de cette Assemblée Générale, dont l’ordre du jour comporte l’examen d’une série de questions liées à la démocratie mondiale, se félicitant de l’expérience marocaine en matière de développement durable, notamment dans le domaine de l’utilisation de l’hydrogène.
Lopez Isturiz a, d’autre part, mis en avant le rôle du Maroc en faveur de la paix, de la sécurité et de la stabilité dans le monde. Pour sa part, le président de l’Internationale Démocratique du Centre, Andres Pastrana, a expliqué que cette Assemblée Générale intervient dans le contexte de la mondialisation et de son impact sur les politiques nationales, notant que cette réunion aborde des questions et problématiques liées notamment à l’immigration en Amérique latine et en Afrique, à l’instabilité dans le monde, aux guerres dans certaines régions et aux réseaux de trafic, ainsi qu’au changement climatique.
Cette réunion a été aussi l’occasion pour des membres du Comité de souligner « le contexte que nous vivons avec beaucoup d’incertitude, surtout dans un climat de tension géopolitique et de guerre dans certaines régions de par le monde et d’œuvrer à trouver des approches à même de permettre de répondre à ces problématiques », a-t-il relevé.
L'Internationale démocrate centriste
L'Internationale démocrate centriste ou IDC est une organisation politique internationale regroupant des partis d'orientation centriste et démocrate
L'IDC fut fondée en 1961 sous le nom d'Union mondiale démocrate-chrétienne.
Ses deux principales organisations régionales sont le Parti populaire européen et l'Organisation démocrate-chrétienne d'Amérique, surtout présente en Amérique latine. Elle est présidée par le colombien Andrés Pastrana Arango et son secrétaire exécutif est le député européen espagnol Antonio López-Istúriz White.
L'IDC fut fondée en 1961 sous le nom d'Union mondiale démocrate-chrétienne.
Ses deux principales organisations régionales sont le Parti populaire européen et l'Organisation démocrate-chrétienne d'Amérique, surtout présente en Amérique latine. Elle est présidée par le colombien Andrés Pastrana Arango et son secrétaire exécutif est le député européen espagnol Antonio López-Istúriz White.