En septembre de cette année, l’entreprise a commencé à recruter des volontaires pour ces essais, dans le but de prouver la sûreté des dispositifs. À terme, l’implant cérébral de Neuralink devrait par exemple permettre aux patients paralysés de contrôler des objets par leur pensée.
À ce jour, l’entreprise est toujours à la recherche du premier volontaire idéal sur qui implanter la puce cérébrale, et pour cause, des critères de recrutement très précis.
À ce jour, l’entreprise est toujours à la recherche du premier volontaire idéal sur qui implanter la puce cérébrale, et pour cause, des critères de recrutement très précis.