Le spyware Pegasus, développé par la société israélienne NSO Group, a suscité des inquiétudes internationales en raison de sa capacité à exploiter des vulnérabilités dans des applications de messagerie comme WhatsApp. En utilisant une faille dans le système, NSO Group a pu installer ce logiciel espion à distance, compromettant ainsi la sécurité des données de millions d'utilisateurs. Face à cette menace, WhatsApp n'a pas tardé à réagir, lançant une procédure judiciaire qui a culminé avec la reconnaissance de culpabilité de NSO Group par la justice.
Cette décision, qui intervient après un tournant décisif en début d'année 2023, lorsque la Cour suprême a permis la poursuite du procès, souligne l'importance de la protection de la vie privée à l'ère numérique. Elle envoie également un message fort aux entreprises développant des technologies de surveillance : l'impunité n'est plus une option. WhatsApp espère que cette victoire contribuera à renforcer la confiance des utilisateurs et à dissuader d'autres tentatives d'intrusion dans leur vie privée.
Cette décision, qui intervient après un tournant décisif en début d'année 2023, lorsque la Cour suprême a permis la poursuite du procès, souligne l'importance de la protection de la vie privée à l'ère numérique. Elle envoie également un message fort aux entreprises développant des technologies de surveillance : l'impunité n'est plus une option. WhatsApp espère que cette victoire contribuera à renforcer la confiance des utilisateurs et à dissuader d'autres tentatives d'intrusion dans leur vie privée.