Pour les jeunes et par les jeunes
L’association Moustaqil existe grâce à des jeunes bénévoles. Ils collaborent tous pour réaliser la mission de l’initiative, qui est : aider les Neet à reprendre leurs études ou à intégrer le monde professionnel.
L’histoire a commencé dans un garage aux Orangers à Rabat, avec quatre jeunes ; Omar Khyari le président, Badr Ouafiq, Ali Moutaib et Mohamed Reda Lazreg. « Omar et Badr avaient souffert de cette situation de « Neet » et souhaitaient trouver non pas des solutions pour eux-mêmes, mais pour les nombreux jeunes qu’ils connaissent », a expliqué Madame Rania Harraq, secrétaire générale de l’association.
Moustaqil propose aux Neet (Not in Education, Employement or training), entre 18 et 30 ans, un programme baptisé ‘Emergence de compétences’ gratuit et adapté à leur profil. Après l’entretien, le bénéficiaire est placé dans l’un des packs (Porteur de Projet, Coup de Pouce, Freelancer ou Deuxième Chance). Il pourra, par la suite, bénéficier de différents cours pendant trois mois. Ces packs ont été créés, à l’aide des experts, pour renforcer les compétences linguistiques, les softs skills et la culture des bénéficiaires.
Hormis le programme, l’association offre à ses bénéficiaires une cellule d’écoute pour libérer la parole, des workshops pour apprendre davantage ainsi que la possibilité de réaliser leurs projets à travers « Moustaqil Bmshro3i ».
Une académie virtuelle a vu le jour
La pandémie a obligé l’association à tourner vers le monde virtuel et à poursuivre ses cours à distance. Cette expérience a ouvert un nouvel horizon et a donné naissance à une académie virtuelle. Cette dernière est dédiée aux personnes hors Rabat souhaitant bénéficier du programme.
Le concept reste le même, des packs selon les profils des candidats. Le but est d’élargir leur cible et d’aider le maximum des jeunes Neet Marocains.
Un plaidoyer pour la jeunesse
Après sa participation à l’enquête NEET ONDH-UNICEF, l’association a réalisé un pacte de jeunesse. L’idée est d’avancer des recommandations pour éviter un certain nombre d’obstacles rencontrés par les jeunes dans la recherche et l’accès au monde professionnel. Le plaidoyer comporte quatorze actions divisées en quatre politiques.
Une carte jeunesse, un porte-monnaie digital et un pass transport collectif figurent parmi les recommandations qui pourront, selon l’association, aider à améliorer la situation des Neet et à diminuer leurs nombres.
Rokia Dhibat
L’association Moustaqil existe grâce à des jeunes bénévoles. Ils collaborent tous pour réaliser la mission de l’initiative, qui est : aider les Neet à reprendre leurs études ou à intégrer le monde professionnel.
L’histoire a commencé dans un garage aux Orangers à Rabat, avec quatre jeunes ; Omar Khyari le président, Badr Ouafiq, Ali Moutaib et Mohamed Reda Lazreg. « Omar et Badr avaient souffert de cette situation de « Neet » et souhaitaient trouver non pas des solutions pour eux-mêmes, mais pour les nombreux jeunes qu’ils connaissent », a expliqué Madame Rania Harraq, secrétaire générale de l’association.
Moustaqil propose aux Neet (Not in Education, Employement or training), entre 18 et 30 ans, un programme baptisé ‘Emergence de compétences’ gratuit et adapté à leur profil. Après l’entretien, le bénéficiaire est placé dans l’un des packs (Porteur de Projet, Coup de Pouce, Freelancer ou Deuxième Chance). Il pourra, par la suite, bénéficier de différents cours pendant trois mois. Ces packs ont été créés, à l’aide des experts, pour renforcer les compétences linguistiques, les softs skills et la culture des bénéficiaires.
Hormis le programme, l’association offre à ses bénéficiaires une cellule d’écoute pour libérer la parole, des workshops pour apprendre davantage ainsi que la possibilité de réaliser leurs projets à travers « Moustaqil Bmshro3i ».
Une académie virtuelle a vu le jour
La pandémie a obligé l’association à tourner vers le monde virtuel et à poursuivre ses cours à distance. Cette expérience a ouvert un nouvel horizon et a donné naissance à une académie virtuelle. Cette dernière est dédiée aux personnes hors Rabat souhaitant bénéficier du programme.
Le concept reste le même, des packs selon les profils des candidats. Le but est d’élargir leur cible et d’aider le maximum des jeunes Neet Marocains.
Un plaidoyer pour la jeunesse
Après sa participation à l’enquête NEET ONDH-UNICEF, l’association a réalisé un pacte de jeunesse. L’idée est d’avancer des recommandations pour éviter un certain nombre d’obstacles rencontrés par les jeunes dans la recherche et l’accès au monde professionnel. Le plaidoyer comporte quatorze actions divisées en quatre politiques.
Une carte jeunesse, un porte-monnaie digital et un pass transport collectif figurent parmi les recommandations qui pourront, selon l’association, aider à améliorer la situation des Neet et à diminuer leurs nombres.
Rokia Dhibat