Mouna Asaad est une chanteuse qui a marqué son retour sur la scène en lançant, entre autres, «Barda Barda» (C’est tout froid), un single «à succès». Une œuvre réalisée dans un style nouveau jeune. Ce qui lui a valu une forte appréciation. «Cette décision de revenir à la scène artistique marocaine et arabe n’était pas facile pour moi. Je savais que des difficultés m’attendaient pour y réintégrer mon nom, notamment après le grand changement que connaît la scène marocaine de par la diversité des styles et l’apparition d’une nouvelle vague de chansons de jeunesse», indique l’artiste qui avait quitté le Maroc pour Londres puis le Bahreïn où elle s’est installée pendant plus de 15 ans.
Et ce n’est pas tout. La chanteuse se prépare à lancer un mini-album compilant quatre singles alliant des styles marocains et modernes. Par là, l’artiste veut «satisfaire tous les goûts en musique».
En outre, elle avait lancé, en 2018, un autre tube appelé «Hechoumi» (Timide), dont les paroles sont conçues par Younes Adam pour une composition de Nabil El Houri et un arrangement de Badr El Makhloufi.
Bien avant, elle avait sorti «Mi dada henna» dont l’arrangement a été fait dans un style nouveau par Rachid Mohamed Ali. Quant aux paroles et la composition de cette œuvre, elles ont été conçues par son défunt père, l’artiste Mohamed El Bacha. C’est avec ce single que la chanteuse a réellement fait son retour, dans la même année, sur scène bien avant de lancer «Barda Barda». Un titre dont le clip est également marqué par la participation d’un automate d’origine camerounaise, Noureddine Fakhir, également danseur installé au Maroc. En recourant à ce chorégraphe dans ce morceau et au héros turc dans le clip «Asserrak», Mouna Assada fait preuve d’imagination qu’elle exprime dans les clips de ses chansons. Chose qui lui vaut l’admiration des mélomanes.
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Et ce n’est pas tout. La chanteuse se prépare à lancer un mini-album compilant quatre singles alliant des styles marocains et modernes. Par là, l’artiste veut «satisfaire tous les goûts en musique».
En outre, elle avait lancé, en 2018, un autre tube appelé «Hechoumi» (Timide), dont les paroles sont conçues par Younes Adam pour une composition de Nabil El Houri et un arrangement de Badr El Makhloufi.
Bien avant, elle avait sorti «Mi dada henna» dont l’arrangement a été fait dans un style nouveau par Rachid Mohamed Ali. Quant aux paroles et la composition de cette œuvre, elles ont été conçues par son défunt père, l’artiste Mohamed El Bacha. C’est avec ce single que la chanteuse a réellement fait son retour, dans la même année, sur scène bien avant de lancer «Barda Barda». Un titre dont le clip est également marqué par la participation d’un automate d’origine camerounaise, Noureddine Fakhir, également danseur installé au Maroc. En recourant à ce chorégraphe dans ce morceau et au héros turc dans le clip «Asserrak», Mouna Assada fait preuve d’imagination qu’elle exprime dans les clips de ses chansons. Chose qui lui vaut l’admiration des mélomanes.
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