Un discours engagé qui fera date .
Sarah Friedland, récompensée pour son premier film à la Mostra de Venise, a dénoncé le génocide à Gaza et affirmé son soutien au peuple palestinien !
Elle a dédié son prix à la population martyre de Gaza, le discours engagé de Sarah Friedland, une cinéaste juive américaine, a résonné puissamment sur la scène de la Mostra de Venise.
Accueillie sous les applaudissements, l’expression sincère de sa solidarité avec l’enclave palestinienne en ruines, dénonçant sans faux-fuyants le génocide commis par Israël et son insupportable impunité, restera sans conteste dans les annales du prestigieux Festival du film italien.
La déclaration la plus éloquente est peut-être celle de la seule lauréate multiple du festival, Sarah Friedland, dont le film « Familiar Touch », salué par Lodge comme un film « d’inconfort intense et de tendresse aiguë », a remporté trois prix : celui du meilleur réalisateur, celui de la meilleure actrice (pour Kathleen Chalfant, l’actrice principale) et le prix Luigi de Laurentiis du meilleur premier long-métrage.
Après avoir remercié chaleureusement les personnes directement impliquées dans son film, Sarah Friedland a poursuivi en déclarant, avec gravité et sans équivoque, et en recevant une réponse chaleureuse et encourageante :
Accueillie sous les applaudissements, l’expression sincère de sa solidarité avec l’enclave palestinienne en ruines, dénonçant sans faux-fuyants le génocide commis par Israël et son insupportable impunité, restera sans conteste dans les annales du prestigieux Festival du film italien.
La déclaration la plus éloquente est peut-être celle de la seule lauréate multiple du festival, Sarah Friedland, dont le film « Familiar Touch », salué par Lodge comme un film « d’inconfort intense et de tendresse aiguë », a remporté trois prix : celui du meilleur réalisateur, celui de la meilleure actrice (pour Kathleen Chalfant, l’actrice principale) et le prix Luigi de Laurentiis du meilleur premier long-métrage.
Après avoir remercié chaleureusement les personnes directement impliquées dans son film, Sarah Friedland a poursuivi en déclarant, avec gravité et sans équivoque, et en recevant une réponse chaleureuse et encourageante :
« En tant qu’artiste juive américaine travaillant dans un média basé sur le temps, je dois noter que j’accepte ce prix le 336e jour du génocide israélien à Gaza et la 76e année de l’occupation. Je crois qu’il est de notre responsabilité, en tant que professionnels du cinéma, d’utiliser les plateformes institutionnelles à travers lesquelles nous travaillons pour lutter contre l’impunité d’Israël sur la scène mondiale. Je soutiens le peuple palestinien dans sa lutte pour la libération. » .
Son discours marquera l’histoire du prestigieux festival. On ne verra jamais ceci ni aux Césars ni aux Oscars !
La prise de position de la réalisatrice américaine, audacieuse et courageuse, comme cri d'indignation d'un esprit épris de justice et d'humanité, ne manquera pas d'attirer à Sarah les foudres de l'industrie cinématographique où le lobby juif est prépondérant .
Effectivement, depuis l'invasion israélienne dans la bande de Gaza de nombreux acteurs américains qui ont dénoncé la barbarie sioniste ont subi des représailles en voyant leurs contrats résiliés.
Dans beaucoup d'autres pays , on a surtout vu des artistes garder le silence afin de préserver leurs intérêts et leur carrière dans le cinéma.
Si ce n'est pas du terrorisme intellectuel exercé par le lobby sioniste, cela lui ressemble étrangement !
HAFID Fassi Fihri
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