Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Sous la torture ardente et froide d'un gant noir,
Mon petit doigt, tremblant, livra tous ses savoirs.
Chaque tourment cruel, chaque douleur intense,
Arrachait un secret, rompait le mur du silence.
Il confessa les mots qu’on n’ose murmurer,
Les rêves interdits qu’on n’ose divulguer.
Il avoua l’amour sous la brûlure impie,
Les serments sous la lune et les serments enfuis.
Dans la poigne de fer qui serre et qui l'écrase,
Il cria la douceur et l’espoir qui s’embrase.
Chaque pression plus forte arrachait à l'index
Des vérités cachées aux reflets malheureux.
Il trahit des aveux, des confessions sans fin,
Les désirs d'une nuit et les doutes du matin.
Il conta les émois, les regrets d'une vie,
Et les fautes cachées sous des brumes infinies.
Le gant tenait encore, impitoyable et fier,
Et mon doigt susurrait tout bas ses mystères.
Il révéla les pleurs d'un cœur pris dans ses fers,
Les soupirs étouffés sous des ciels sans éclairs.
À chaque coup de gant, sous chaque rude étreinte,
Il confia l’innocence et la crainte défunte.
Il pleura des serments d'un passé désolé,
Des lettres déchirées qu’on n’a jamais lues, jamais.
Le gant serrait plus fort, et sous la dure épreuve,
Mon petit doigt, tremblant, n'avait plus rien qui pleuve.
Mais il chuchota alors d'un souffle expirant,
Les secrets enfouis que nul ne comprend.
Sous le regard cruel des mains sans remords,
Il livra ses dernières pensées à la mort.
Et dans l’ombre glacée d’un silence absolu,
Mon petit doigt enfin se tut, il s'est perdu.
Ainsi, sous la torture du gant sombre et cruel,
Il offrit ses secrets à l’ombre éternelle.
Mon petit doigt, tremblant, livra tous ses savoirs.
Chaque tourment cruel, chaque douleur intense,
Arrachait un secret, rompait le mur du silence.
Il confessa les mots qu’on n’ose murmurer,
Les rêves interdits qu’on n’ose divulguer.
Il avoua l’amour sous la brûlure impie,
Les serments sous la lune et les serments enfuis.
Dans la poigne de fer qui serre et qui l'écrase,
Il cria la douceur et l’espoir qui s’embrase.
Chaque pression plus forte arrachait à l'index
Des vérités cachées aux reflets malheureux.
Il trahit des aveux, des confessions sans fin,
Les désirs d'une nuit et les doutes du matin.
Il conta les émois, les regrets d'une vie,
Et les fautes cachées sous des brumes infinies.
Le gant tenait encore, impitoyable et fier,
Et mon doigt susurrait tout bas ses mystères.
Il révéla les pleurs d'un cœur pris dans ses fers,
Les soupirs étouffés sous des ciels sans éclairs.
À chaque coup de gant, sous chaque rude étreinte,
Il confia l’innocence et la crainte défunte.
Il pleura des serments d'un passé désolé,
Des lettres déchirées qu’on n’a jamais lues, jamais.
Le gant serrait plus fort, et sous la dure épreuve,
Mon petit doigt, tremblant, n'avait plus rien qui pleuve.
Mais il chuchota alors d'un souffle expirant,
Les secrets enfouis que nul ne comprend.
Sous le regard cruel des mains sans remords,
Il livra ses dernières pensées à la mort.
Et dans l’ombre glacée d’un silence absolu,
Mon petit doigt enfin se tut, il s'est perdu.
Ainsi, sous la torture du gant sombre et cruel,
Il offrit ses secrets à l’ombre éternelle.
Ce poème raconte l'histoire d'un "petit doigt" qui, sous la torture d'un gant impitoyable, est contraint de tout avouer.
Chaque strophe décrit les confessions arrachées sous la douleur intense, révélant des secrets profondément enfouis : des amours cachés, des rêves interdits, des serments oubliés, et des regrets d'une vie entière. À chaque tourment du gant, le doigt confesse des vérités qu'il n'osait jamais murmurer, trahissant des désirs, des fautes, et des pleurs.
Le gant continue de serrer avec cruauté, extorquant jusqu'aux derniers aveux de ce doigt qui tremble et se lamente. Finalement, le doigt, épuisé et accablé, dévoile ses ultimes pensées, avant de sombrer dans un silence éternel, emportant ses secrets dans l'oubli.
Ce poème illustre la lutte entre le désir de préserver ses mystères et la force brutale qui contraint à tout révéler, jusqu'à la disparition finale dans l'ombre
Le gant continue de serrer avec cruauté, extorquant jusqu'aux derniers aveux de ce doigt qui tremble et se lamente. Finalement, le doigt, épuisé et accablé, dévoile ses ultimes pensées, avant de sombrer dans un silence éternel, emportant ses secrets dans l'oubli.
Ce poème illustre la lutte entre le désir de préserver ses mystères et la force brutale qui contraint à tout révéler, jusqu'à la disparition finale dans l'ombre