Ce film, qui mêle drame familial et quête identitaire, s’annonce comme une expérience cinématographique riche en émotions et en réflexions. Après avoir été acclamé par la critique et raflé pas moins de six prix au Festival national du film de Tanger en 2023, dont le prestigieux Grand Prix et celui de la meilleure réalisation, l’attente est grande pour ce projet qui promet d’apporter une voix singulière au paysage cinématographique marocain.
L’intrigue nous plonge dans la vie de Malik, un jeune garçon qui vit avec son père Mehdi au sein d’une fête foraine. Leur quotidien est empreint de simplicité et de mystère, notamment grâce à cinq toiles énigmatiques que Mehdi offre un jour à son fils. Mais cette routine éclate brutalement lorsqu’une altercation avec la police mène à l’arrestation de Mehdi, plongeant Malik dans une quête désespérée pour retrouver son père. Dans cette aventure, il peut compter sur le soutien de la communauté des forains, un univers à la fois chaleureux et marginalisé. Ce récit poignant explore des thèmes universels tels que les liens familiaux, l’injustice sociale et le pouvoir salvateur de l’art.
Le casting du film constitue également un atout majeur. Il réunit des figures emblématiques du cinéma marocain et international, telles que le regretté Aziz El Fadili, dont c’est le dernier rôle à l’écran, Nadia Kounda, Faouzi Bensaïdi, Didier Benureau, Abdelnbi El Beniwi et le jeune Adam Raghal. Cette distribution promet de donner une profondeur supplémentaire aux personnages et à leurs émotions.
Adil El Fadili, né en 1970 et formé au Conservatoire libre du cinéma français (CLCF) à Paris, n’en est pas à son premier coup d’essai dans le domaine audiovisuel. Après avoir signé plusieurs téléfilms et séries marocaines, il s’est fait remarquer avec son court métrage « Courte Vie » en 2010. Avec « Mon père n’est pas mort », il franchit une nouvelle étape en livrant une œuvre ambitieuse qui pourrait bien marquer un tournant dans sa carrière.
Ce film ne se contente pas de raconter une histoire, il interroge les spectateurs sur des questions profondes telles que la résilience face à l’adversité ou l’héritage familial. En combinant une narration captivante, un casting talentueux et un propos universel, « Mon père n’est pas mort » s’annonce comme une œuvre incontournable pour les amateurs de cinéma.
L’intrigue nous plonge dans la vie de Malik, un jeune garçon qui vit avec son père Mehdi au sein d’une fête foraine. Leur quotidien est empreint de simplicité et de mystère, notamment grâce à cinq toiles énigmatiques que Mehdi offre un jour à son fils. Mais cette routine éclate brutalement lorsqu’une altercation avec la police mène à l’arrestation de Mehdi, plongeant Malik dans une quête désespérée pour retrouver son père. Dans cette aventure, il peut compter sur le soutien de la communauté des forains, un univers à la fois chaleureux et marginalisé. Ce récit poignant explore des thèmes universels tels que les liens familiaux, l’injustice sociale et le pouvoir salvateur de l’art.
Le casting du film constitue également un atout majeur. Il réunit des figures emblématiques du cinéma marocain et international, telles que le regretté Aziz El Fadili, dont c’est le dernier rôle à l’écran, Nadia Kounda, Faouzi Bensaïdi, Didier Benureau, Abdelnbi El Beniwi et le jeune Adam Raghal. Cette distribution promet de donner une profondeur supplémentaire aux personnages et à leurs émotions.
Adil El Fadili, né en 1970 et formé au Conservatoire libre du cinéma français (CLCF) à Paris, n’en est pas à son premier coup d’essai dans le domaine audiovisuel. Après avoir signé plusieurs téléfilms et séries marocaines, il s’est fait remarquer avec son court métrage « Courte Vie » en 2010. Avec « Mon père n’est pas mort », il franchit une nouvelle étape en livrant une œuvre ambitieuse qui pourrait bien marquer un tournant dans sa carrière.
Ce film ne se contente pas de raconter une histoire, il interroge les spectateurs sur des questions profondes telles que la résilience face à l’adversité ou l’héritage familial. En combinant une narration captivante, un casting talentueux et un propos universel, « Mon père n’est pas mort » s’annonce comme une œuvre incontournable pour les amateurs de cinéma.