Ce film, déjà couronné de succès dans plusieurs festivals, se distingue par sa profondeur émotionnelle et son approche artistique singulière. L’avant-première, tenue à Casablanca mardi soir, a rassemblé un public composé d’artistes, de cinéphiles et de critiques, témoignant de l’attente suscitée par ce projet ambitieux.
L’histoire nous plonge dans l’univers de Malik, un jeune garçon vivant dans une fête foraine avec son père Mehdi. Leur quotidien, empreint de simplicité et de magie, est bouleversé lorsque Mehdi offre à son fils cinq toiles énigmatiques. Peu après, Mehdi disparaît mystérieusement, laissant Malik seul face à un vide immense. Déterminé à retrouver son père, l’enfant entame une quête effrénée, soutenu par la chaleureuse communauté des forains. Ce voyage initiatique, raconté à travers le regard d’un enfant, mêle drame et comédie, tout en explorant des thèmes universels comme la perte, l’espoir et les liens familiaux.
Adil El Fadili, réalisateur formé au Conservatoire libre du cinéma français (CLCF) à Paris, signe ici une œuvre qui marque un tournant dans sa carrière. Après avoir réalisé des téléfilms et des séries ainsi qu’un court métrage remarqué en 2010 (« Courte vie »), il s’attaque au format du long métrage avec une ambition artistique affirmée. Dans une déclaration à la MAP, il a tenu à souligner que « Mon père n’est pas mort » n’a aucune vocation politique. Il s’agit avant tout d’une histoire profondément humaine, où chaque spectateur peut se reconnaître dans les épreuves et les émotions de Malik.
Le casting réunit des acteurs chevronnés comme Mohamed Khouyi, Omar Lotfi et Faouzi Bensaïdi, ainsi que de jeunes talents prometteurs tels qu’Adam Raghal. Mention spéciale pour feu Aziz El Fadili, dont la prestation posthume ajoute une dimension émotionnelle supplémentaire au film. Parmi les distinctions obtenues par ce long métrage figure le Grand Prix du Festival national du film de Tanger 2023 et le Prix de la Meilleure réalisation.
Avec « Mon père n’est pas mort », Adil El Fadili offre au public marocain une œuvre poignante et universelle. Ce film ne se contente pas de raconter une histoire, il invite à une réflexion sur la résilience humaine face à l’adversité.
L’histoire nous plonge dans l’univers de Malik, un jeune garçon vivant dans une fête foraine avec son père Mehdi. Leur quotidien, empreint de simplicité et de magie, est bouleversé lorsque Mehdi offre à son fils cinq toiles énigmatiques. Peu après, Mehdi disparaît mystérieusement, laissant Malik seul face à un vide immense. Déterminé à retrouver son père, l’enfant entame une quête effrénée, soutenu par la chaleureuse communauté des forains. Ce voyage initiatique, raconté à travers le regard d’un enfant, mêle drame et comédie, tout en explorant des thèmes universels comme la perte, l’espoir et les liens familiaux.
Adil El Fadili, réalisateur formé au Conservatoire libre du cinéma français (CLCF) à Paris, signe ici une œuvre qui marque un tournant dans sa carrière. Après avoir réalisé des téléfilms et des séries ainsi qu’un court métrage remarqué en 2010 (« Courte vie »), il s’attaque au format du long métrage avec une ambition artistique affirmée. Dans une déclaration à la MAP, il a tenu à souligner que « Mon père n’est pas mort » n’a aucune vocation politique. Il s’agit avant tout d’une histoire profondément humaine, où chaque spectateur peut se reconnaître dans les épreuves et les émotions de Malik.
Le casting réunit des acteurs chevronnés comme Mohamed Khouyi, Omar Lotfi et Faouzi Bensaïdi, ainsi que de jeunes talents prometteurs tels qu’Adam Raghal. Mention spéciale pour feu Aziz El Fadili, dont la prestation posthume ajoute une dimension émotionnelle supplémentaire au film. Parmi les distinctions obtenues par ce long métrage figure le Grand Prix du Festival national du film de Tanger 2023 et le Prix de la Meilleure réalisation.
Avec « Mon père n’est pas mort », Adil El Fadili offre au public marocain une œuvre poignante et universelle. Ce film ne se contente pas de raconter une histoire, il invite à une réflexion sur la résilience humaine face à l’adversité.