Le fils d’un parlementaire a été condamné à 30 ans de réclusion criminelle par la Chambre criminelle d’appel d’Agadir, confirmant ainsi le verdict de première instance. L’accusé a été reconnu coupable d’homicide volontaire avec préméditation et de mutilation du corps de la victime, un crime d’une violence extrême qui a bouleversé la ville. Le jugement a été rendu selon les articles 392 et 271 du code pénal, stipulant des peines sévères pour ce type de crimes.
Les faits remontent à un meurtre brutal, où le corps de la victime a été retrouvé calciné, un acte qui a ajouté à l'horreur du crime. Cette affaire a pris une dimension particulière en raison de l’identité de l'accusé, accentuant l'indignation publique. La condamnation à 30 ans de prison envoie un message clair sur la fermeté de la justice, quel que soit le statut social des individus impliqués dans des actes aussi graves.
Les faits remontent à un meurtre brutal, où le corps de la victime a été retrouvé calciné, un acte qui a ajouté à l'horreur du crime. Cette affaire a pris une dimension particulière en raison de l’identité de l'accusé, accentuant l'indignation publique. La condamnation à 30 ans de prison envoie un message clair sur la fermeté de la justice, quel que soit le statut social des individus impliqués dans des actes aussi graves.