Poème en musique de Adnane Benchakroun
Pour ceux qui aiment encore lire : Poème de Adnane Benchakroun
Le mensonge monte, porté par un souffle vain,
Tandis que la vérité gravit ses chemins lents.
L'ascenseur le hisse aux cimes des illusions,
Mais l'escalier s'entête, ferme dans sa mission.
Sur des ailes trompeuses, le mensonge s'envole,
La vérité avance, pas à pas, et console.
Un sourire charmeur masque son jeu pervers,
Mais le poids du mensonge finit par être amer.
La lumière vacille au sommet des faussetés,
Quand l'honnêteté brille, immuable et posée.
La course paraît gagnée pour celui qui ment,
Mais la vérité attend, implacable, tout le temps.
Le sommet semble proche pour le plus fourbe,
Mais la chute est certaine, si haute et si sourde.
De son pas régulier, la vérité poursuit,
Ses efforts sont constants, même quand tout s’enfuit.
Le mensonge se hâte, brûlant ses propres ponts,
La vérité se forge, patiente dans l’affront.
Chaque étage franchi ne garantit nul triomphe,
Seule la vérité tient, indestructible en son front.
Et quand tout s’écroule, il ne reste qu’elle,
Fidèle dans son cœur, la vérité éternelle.
Le mensonge s’essouffle, vaincu par ses propres tours,
Mais l’escalier de la vérité mène toujours au jour.
Quand l'illusion s’éteint, c'est elle qui luit,
La vérité achève ce que le mensonge fuit.
Avec lenteur, elle prend tout son territoire,
Le mensonge s'efface, effrayé par sa gloire.
Le temps joue pour elle, cette alliée si forte,
Car la vérité, elle seule, toujours nous porte.
Tandis que la vérité gravit ses chemins lents.
L'ascenseur le hisse aux cimes des illusions,
Mais l'escalier s'entête, ferme dans sa mission.
Sur des ailes trompeuses, le mensonge s'envole,
La vérité avance, pas à pas, et console.
Un sourire charmeur masque son jeu pervers,
Mais le poids du mensonge finit par être amer.
La lumière vacille au sommet des faussetés,
Quand l'honnêteté brille, immuable et posée.
La course paraît gagnée pour celui qui ment,
Mais la vérité attend, implacable, tout le temps.
Le sommet semble proche pour le plus fourbe,
Mais la chute est certaine, si haute et si sourde.
De son pas régulier, la vérité poursuit,
Ses efforts sont constants, même quand tout s’enfuit.
Le mensonge se hâte, brûlant ses propres ponts,
La vérité se forge, patiente dans l’affront.
Chaque étage franchi ne garantit nul triomphe,
Seule la vérité tient, indestructible en son front.
Et quand tout s’écroule, il ne reste qu’elle,
Fidèle dans son cœur, la vérité éternelle.
Le mensonge s’essouffle, vaincu par ses propres tours,
Mais l’escalier de la vérité mène toujours au jour.
Quand l'illusion s’éteint, c'est elle qui luit,
La vérité achève ce que le mensonge fuit.
Avec lenteur, elle prend tout son territoire,
Le mensonge s'efface, effrayé par sa gloire.
Le temps joue pour elle, cette alliée si forte,
Car la vérité, elle seule, toujours nous porte.
Ce poème illustre la dynamique entre le mensonge et la vérité à travers la métaphore de l'ascenseur et de l'escalier.
Le mensonge est décrit comme prenant un chemin rapide et séduisant, atteignant temporairement les sommets grâce à des illusions.
Toutefois, cette montée est fragile et éphémère, car il ne peut échapper à la vérité, qui avance lentement mais avec constance. Comparée à un escalier, la vérité demande des efforts, de la patience et du temps pour s'imposer.
Elle triomphe inévitablement, malgré les apparentes victoires initiales du mensonge. Le poème souligne ainsi que le mensonge, bien que séduisant à court terme, finit toujours par s’effondrer face à la force et la persévérance de la vérité.
La morale invite à privilégier l’honnêteté, car seule la vérité, même lente, est durable et authentique.
Toutefois, cette montée est fragile et éphémère, car il ne peut échapper à la vérité, qui avance lentement mais avec constance. Comparée à un escalier, la vérité demande des efforts, de la patience et du temps pour s'imposer.
Elle triomphe inévitablement, malgré les apparentes victoires initiales du mensonge. Le poème souligne ainsi que le mensonge, bien que séduisant à court terme, finit toujours par s’effondrer face à la force et la persévérance de la vérité.
La morale invite à privilégier l’honnêteté, car seule la vérité, même lente, est durable et authentique.