Le match de Ligue des Nations au Stade de France se déroule dans un contexte tendu, marqué par des relations diplomatiques fragiles entre le président français Emmanuel Macron et le dirigeant israélien Benjamin Netanyahu, exacerbées par la guerre à Gaza.
Près de 4 000 policiers seront déployés pour sécuriser l’événement, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du stade, ainsi que dans les transports en commun, a indiqué la police parisienne.
Emmanuel Macron assistera au match en signe de solidarité, tandis que le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a affirmé, après les affrontements à Amsterdam, qu'il n'y avait aucun doute que la rencontre se tiendrait comme prévu.
Cependant, la participation devrait être faible, avec seulement 20 000 spectateurs attendus dans le stade de 80 000 places situé au nord de Paris.
Le groupe de supporters français « Les Irréductibles Français » a mené une enquête auprès de ses membres, révélant que 15 % boycotteraient le match en raison de la guerre à Gaza, tandis qu’environ 30 % ont cité des « risques de sécurité ».
Les autorités israéliennes ont déconseillé à leurs supporters de se rendre en France pour le match et ont averti les Israéliens à l’étranger contre le port de symboles israéliens ou juifs reconnaissables.
Les députés du parti de gauche La France insoumise (LFI), solidaires de la souffrance des Palestiniens, ont également exprimé leur soutien au boycott.
La protestation mondiale contre le génocide des Palestiniens à Gaza par Israël se fait de plus en plus sentir lors des événements sportifs.
La semaine dernière, des supporters du Paris Saint-Germain ont déployé une banderole « Free Palestine » lors d’un match de Ligue des champions au Parc des Princes. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a critiqué cette action, estimant que la banderole « n’avait pas sa place dans le stade ».
Près de 4 000 policiers seront déployés pour sécuriser l’événement, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du stade, ainsi que dans les transports en commun, a indiqué la police parisienne.
« Il s'agit d'un dispositif exceptionnel, trois à quatre fois plus important que ceux que nous mettons en place habituellement », a déclaré mercredi le préfet de police de Paris, Laurent Nunez, sur RTL. « Seuls les drapeaux français et israéliens seront autorisés à l’intérieur du stade », a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron assistera au match en signe de solidarité, tandis que le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a affirmé, après les affrontements à Amsterdam, qu'il n'y avait aucun doute que la rencontre se tiendrait comme prévu.
Cependant, la participation devrait être faible, avec seulement 20 000 spectateurs attendus dans le stade de 80 000 places situé au nord de Paris.
Le groupe de supporters français « Les Irréductibles Français » a mené une enquête auprès de ses membres, révélant que 15 % boycotteraient le match en raison de la guerre à Gaza, tandis qu’environ 30 % ont cité des « risques de sécurité ».
Les autorités israéliennes ont déconseillé à leurs supporters de se rendre en France pour le match et ont averti les Israéliens à l’étranger contre le port de symboles israéliens ou juifs reconnaissables.
Les députés du parti de gauche La France insoumise (LFI), solidaires de la souffrance des Palestiniens, ont également exprimé leur soutien au boycott.
La protestation mondiale contre le génocide des Palestiniens à Gaza par Israël se fait de plus en plus sentir lors des événements sportifs.
La semaine dernière, des supporters du Paris Saint-Germain ont déployé une banderole « Free Palestine » lors d’un match de Ligue des champions au Parc des Princes. Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a critiqué cette action, estimant que la banderole « n’avait pas sa place dans le stade ».