Murat Yıldırım, l’un des acteurs les plus en vue de la scène turque, a joué un rôle clé dans le choix de Marrakech comme lieu de tournage pour la nouvelle série "Trouve-moi". Marié à l’ancienne Miss Maroc Imane El Bani, Yıldırım n’a jamais caché son admiration pour la ville ocre. Son attachement à Marrakech, qu’il considère comme l’une des meilleures destinations touristiques, s’est manifesté à plusieurs reprises lors d’interviews. Cette affection particulière s’est même reflétée dans la série populaire « L’Organisation », où il a vanté les charmes de Marrakech, la préférant à Paris dans une scène mémorable. Ce lien personnel avec la ville a sans doute influencé la décision de tourner certaines scènes de "Trouve-moi" dans ce cadre enchanteur, renforçant ainsi l’authenticité et la profondeur de la série.

Dans "Trouve-moi", Yıldırım incarne Demir Akşitar, un architecte talentueux et visionnaire. Il partage l’écran avec İbro Şahin, qui interprète Nazlı Koker, une mère célibataire dévouée à son fils, Mimo. Le scénario, signé par Nişe Şen, est adapté par Emre Özdoğan et Hazal Köze, tandis que la réalisation est confiée à Reşat Karagöz.

La série, produite par la société "TMC Film", se prépare à affronter une rude concurrence dans le paysage télévisuel turc, où 35 nouvelles productions verront le jour cette saison. Avec un format de diffusion hebdomadaire, "Trouve-moi" devra rapidement capter l’attention du public pour éviter d’être reléguée, comme cela arrive souvent aux séries qui peinent à séduire les téléspectateurs.

Un mariage marocain sous les projecteurs

Il est également important de rappeler que Murat Yıldırım a célébré son mariage avec Imane El Bani en 2017 au complexe de Skhirat, près de Rabat. Cette cérémonie, empreinte de traditions marocaines, a réuni environ 200 invités, dont l’ambassadeur de Turquie au Maroc, Adhem Burkan Aruz, ainsi que plusieurs célébrités marocaines et turques. Ce mariage, véritable vitrine de la culture marocaine, a offert aux convives une immersion authentique dans les coutumes locales, renforçant les liens culturels entre les deux pays.

L'ODJ avec hespress