Après une période d'accalmie relative, marquée par les vacances judiciaires et la suspension temporaire des grèves, la rentrée sociale et politique s'annonce sous haute tension. Les greffiers, exprimant leur frustration face à ce qu'ils considèrent comme un manque de volonté du gouvernement à appliquer un statut promis, ont décidé de manifester leur mécontentement. Ce mouvement ne se limite pas à une simple protestation; il reflète une accumulation de ressentiments envers l'inaction des autorités, menaçant de plonger les tribunaux du royaume dans un état de blocage.
La décision de cette grève, initiée par le Syndicat démocratique de la justice, affilié à la Confédération Démocratique du Travail (CDT), est alimentée par un sentiment d'ingratitude perçu par les greffiers envers les réformes du système judiciaire. Le syndicat condamne fermement les attaques répétées contre leur profession, qu'il considère comme un manque de reconnaissance pour les efforts déployés. Cette grève pourrait non seulement perturber gravement le fonctionnement des tribunaux, mais également exacerber les tensions sociales à l’approche de la rentrée scolaire et politique.
Saïd Baâzi, secrétaire national du Syndicat national de la justice, a exprimé sa déception quant à la lenteur de l'adoption du statut convenu, pointant du doigt l’hésitation du ministère des Finances à appliquer les accords conclus. Cette inaction est perçue comme un signe de désintérêt gouvernemental à répondre aux revendications des greffiers, ce qui pourrait entraîner une escalade des tensions.
La décision de cette grève, initiée par le Syndicat démocratique de la justice, affilié à la Confédération Démocratique du Travail (CDT), est alimentée par un sentiment d'ingratitude perçu par les greffiers envers les réformes du système judiciaire. Le syndicat condamne fermement les attaques répétées contre leur profession, qu'il considère comme un manque de reconnaissance pour les efforts déployés. Cette grève pourrait non seulement perturber gravement le fonctionnement des tribunaux, mais également exacerber les tensions sociales à l’approche de la rentrée scolaire et politique.
Saïd Baâzi, secrétaire national du Syndicat national de la justice, a exprimé sa déception quant à la lenteur de l'adoption du statut convenu, pointant du doigt l’hésitation du ministère des Finances à appliquer les accords conclus. Cette inaction est perçue comme un signe de désintérêt gouvernemental à répondre aux revendications des greffiers, ce qui pourrait entraîner une escalade des tensions.