Ce lundi 30 septembre, un procès très attendu s'ouvre au tribunal correctionnel de Paris, avec en première ligne Marine Le Pen et 24 personnalités du Rassemblement National. Ils sont accusés d'avoir utilisé des fonds du Parlement européen pour rémunérer les salariés de leur parti, une pratique interdite. Les accusations remontent à l'époque où le parti s’appelait encore Front National, et les faits incriminés concernent principalement la période durant laquelle les prévenus étaient eurodéputés.
La présidente du tribunal, Bénédicte de Perthuis, a débuté les audiences en vérifiant la présence des accusés, avant d'entamer un exposé méthodique des faits reprochés. Un moment que certains ont trouvé laborieux, mais nécessaire pour clarifier les enjeux. Si Marine Le Pen a assuré qu’elle était « sereine » face aux accusations, les répercussions politiques de ce procès pourraient ébranler l'image de l'extrême droite française. La question reste ouverte : le RN sortira-t-il indemne de ce procès aux ramifications internationales ?
La présidente du tribunal, Bénédicte de Perthuis, a débuté les audiences en vérifiant la présence des accusés, avant d'entamer un exposé méthodique des faits reprochés. Un moment que certains ont trouvé laborieux, mais nécessaire pour clarifier les enjeux. Si Marine Le Pen a assuré qu’elle était « sereine » face aux accusations, les répercussions politiques de ce procès pourraient ébranler l'image de l'extrême droite française. La question reste ouverte : le RN sortira-t-il indemne de ce procès aux ramifications internationales ?