Les thématiques phares de l’année 2025 : Les grandes tendances politiques et économiques de 2025 » « Croissance mondiale : entre opportunités et incertitudes » « Banques centrales et marchés : les prévisions pour 2025
L’année 2025 s’annonce marquée par des dynamiques politiques et économiques majeures. La réélection de Donald Trump aura des implications globales, avec une montée prévue des droits de douane sur les produits chinois (de 10 % à 25 % d’ici 2026) et sur d’autres partenaires commerciaux (hausse de 2,3 % à 5,4 % en moyenne).
Ces mesures protectionnistes pourraient exacerber les tensions commerciales et inciter l’Europe à diversifier ses partenariats. En matière de politique intérieure, des changements fiscaux sont anticipés, notamment une baisse de l’impôt sur les sociétés à 15 %, stimulant les bénéfices des entreprises américaines.
Sur le plan géopolitique, les tensions avec l’Iran et le soutien accru à Taïwan laissent entrevoir un environnement international instable, particulièrement avec l’insistance de Trump sur une posture "America First".
Ces mesures protectionnistes pourraient exacerber les tensions commerciales et inciter l’Europe à diversifier ses partenariats. En matière de politique intérieure, des changements fiscaux sont anticipés, notamment une baisse de l’impôt sur les sociétés à 15 %, stimulant les bénéfices des entreprises américaines.
Sur le plan géopolitique, les tensions avec l’Iran et le soutien accru à Taïwan laissent entrevoir un environnement international instable, particulièrement avec l’insistance de Trump sur une posture "America First".
Perspectives macroéconomiques :
La croissance mondiale en 2025 devrait être hétérogène. Les économies avancées, freinées par des politiques budgétaires restrictives et une inflation modérée, afficheront une croissance moyenne de 2 %. En revanche, les économies émergentes comme celles de la région MENA (4,2 %) bénéficieront de la reprise des exportations énergétiques.
Les investissements dans la transition énergétique, l’intelligence artificielle et la modernisation des infrastructures joueront un rôle clé dans les économies des États-Unis et de l’Europe.
Cependant, les défis structurels en Chine, liés à la baisse de la demande intérieure et à la dépendance au secteur immobilier, risquent de ralentir la croissance du pays (4,5 % en 2025).
Par ailleurs, les plans de relocalisation industriels aux États-Unis et l’impact des politiques industrielles incitatives redistribueront les flux d’investissement à l’échelle mondiale.
Les investissements dans la transition énergétique, l’intelligence artificielle et la modernisation des infrastructures joueront un rôle clé dans les économies des États-Unis et de l’Europe.
Cependant, les défis structurels en Chine, liés à la baisse de la demande intérieure et à la dépendance au secteur immobilier, risquent de ralentir la croissance du pays (4,5 % en 2025).
Par ailleurs, les plans de relocalisation industriels aux États-Unis et l’impact des politiques industrielles incitatives redistribueront les flux d’investissement à l’échelle mondiale.
Perspectives des marchés monétaires et financiers :
En 2025, les banques centrales des principales économies devraient assouplir leurs politiques monétaires, stabilisant les taux directeurs autour de 3 % aux États-Unis et 1,75 % dans la zone euro. Ce cadre pourrait favoriser un rebond modéré des marchés boursiers, particulièrement dans les secteurs des petites capitalisations et des entreprises technologiques.
Les obligations, notamment ESG, offrent également des opportunités attractives, avec des rendements anticipés de 5 % à 8 %. Sur le marché des devises, un dollar fort et des perspectives économiques européennes plus faibles limiteront les gains de l’euro, tandis que la volatilité du yen japonais persistera en raison de l’ajustement progressif de la politique monétaire de la Banque du Japon.
Enfin, sur le marché des matières premières, l’OPEP+ visera à stabiliser les prix du pétrole autour de 75 USD/baril, sous réserve de l’absence de nouvelles escalades géopolitiques.
Les obligations, notamment ESG, offrent également des opportunités attractives, avec des rendements anticipés de 5 % à 8 %. Sur le marché des devises, un dollar fort et des perspectives économiques européennes plus faibles limiteront les gains de l’euro, tandis que la volatilité du yen japonais persistera en raison de l’ajustement progressif de la politique monétaire de la Banque du Japon.
Enfin, sur le marché des matières premières, l’OPEP+ visera à stabiliser les prix du pétrole autour de 75 USD/baril, sous réserve de l’absence de nouvelles escalades géopolitiques.