Intitulé « L’intermédiation active : un levier de performance pour le marché du travail au Maroc », le document propose d’adopter une stratégie proactive pour améliorer l’employabilité. Contrairement à l’intermédiation passive, qui se limite à mettre en relation employeurs et chercheurs d’emploi, l’intermédiation active va plus loin. Elle vise à préparer les candidats par une formation ciblée, à leur fournir des conseils personnalisés, et à les accompagner tout au long du processus d’intégration.
Cette approche, bien que déjà mise en œuvre avec succès dans d’autres pays, reste sous-exploitée au Maroc, où les structures existantes, telles que l’ANAPEC, peinent à répondre aux besoins du marché. Le rapport plaide pour une refonte des politiques d’emploi, en mettant l’accent sur la formation continue et le soutien aux travailleurs, afin de dynamiser un marché de l’emploi en proie à des difficultés persistantes.
Cette approche, bien que déjà mise en œuvre avec succès dans d’autres pays, reste sous-exploitée au Maroc, où les structures existantes, telles que l’ANAPEC, peinent à répondre aux besoins du marché. Le rapport plaide pour une refonte des politiques d’emploi, en mettant l’accent sur la formation continue et le soutien aux travailleurs, afin de dynamiser un marché de l’emploi en proie à des difficultés persistantes.