Le marathon de Paris a subi les conséquences de la crise sanitaire, et ce, avec deux reports et une annulation en 2020, et une date fixée à l’automne plutôt qu’au printemps en 2021.
Deux ans et demi après le rocambolesque record de France de Clémence Calvin, jamais ratifié à cause de sa condamnation par les instances antidopage, les 42,195 km de la capitale s'offrent de nouveau aux coureurs, avec pour seules nouvelles contraintes la présentation du pass sanitaire et le port du masque dans la zone de départ.
Entre 30.000 et 35.000 amateurs au départ ont attendus par l’organisation, ces chiffres sont en baisse par rapport aux éditions précédentes (environ 49.000 partants en 2019).
Les athlètes élite s'élanceront à 08h54 (femmes) et à 09h10 (hommes), sans aucun des grands noms actuels de la course sur route pour faire figure de favori, et sans les tenants du titre éthiopiens Abrha Milaw et Gelete Burka.
Les Français sont menés par Hassan Chahdi, 45e aux Jeux olympiques le 8 août à Sapporo. "Paris n'est pas vraiment un objectif après les Jeux, je ne suis pas prêt pour un gros chrono. Je vais essayer de me faire plaisir et surtout, ça fait du bien de retrouver ce marathon où j'ai de bons souvenirs, de recourir à Paris plus de deux ans après", a-t-il expliqué à l'AFP.
Deux ans et demi après le rocambolesque record de France de Clémence Calvin, jamais ratifié à cause de sa condamnation par les instances antidopage, les 42,195 km de la capitale s'offrent de nouveau aux coureurs, avec pour seules nouvelles contraintes la présentation du pass sanitaire et le port du masque dans la zone de départ.
Entre 30.000 et 35.000 amateurs au départ ont attendus par l’organisation, ces chiffres sont en baisse par rapport aux éditions précédentes (environ 49.000 partants en 2019).
Les athlètes élite s'élanceront à 08h54 (femmes) et à 09h10 (hommes), sans aucun des grands noms actuels de la course sur route pour faire figure de favori, et sans les tenants du titre éthiopiens Abrha Milaw et Gelete Burka.
Les Français sont menés par Hassan Chahdi, 45e aux Jeux olympiques le 8 août à Sapporo. "Paris n'est pas vraiment un objectif après les Jeux, je ne suis pas prêt pour un gros chrono. Je vais essayer de me faire plaisir et surtout, ça fait du bien de retrouver ce marathon où j'ai de bons souvenirs, de recourir à Paris plus de deux ans après", a-t-il expliqué à l'AFP.