Cette action fait suite à l’annonce en mai du procureur de la CPI de demander des mandats d'arrêt contre les deux responsables israéliens. Israël, par la voix de son ministère des Affaires étrangères, estime que la juridiction de la CPI n'est pas légitime dans ce dossier. Cette contestation met en lumière un nouveau bras de fer entre Israël et les institutions internationales. Le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, Oren Marmorstein, a déclaré que la démarche vise à protéger la souveraineté du pays et à dénoncer ce qu’il considère comme une décision "illégitime" de la CPI.
Ce développement accentue les tensions déjà existantes autour du rôle de la CPI au Moyen-Orient, notamment sur les questions de crimes de guerre présumés. Il est encore trop tôt pour savoir comment la cour réagira, mais cette opposition pourrait avoir des répercussions sur les relations internationales et la diplomatie dans la région. La prochaine étape dans cette affaire pourrait influencer la perception de la CPI et de son rôle dans les conflits internationaux.
Ce développement accentue les tensions déjà existantes autour du rôle de la CPI au Moyen-Orient, notamment sur les questions de crimes de guerre présumés. Il est encore trop tôt pour savoir comment la cour réagira, mais cette opposition pourrait avoir des répercussions sur les relations internationales et la diplomatie dans la région. La prochaine étape dans cette affaire pourrait influencer la perception de la CPI et de son rôle dans les conflits internationaux.