Les "Red Devils" (54 points) n'ont remporté qu'un seul de leurs sept derniers matches, contre le dernier Sheffield, une mauvaise série qui les place derrière Newcastle (6e, 56 pts) et Chelsea (7e, 54 pts).
Il leur reste à affronter Arsenal, Newcastle et Brighton d'ici à la fin de saison, en plus de Manchester City en finale de la Coupe d'Angleterre, le 25 mai, peut-être leur meilleure chance d'accrocher la Ligue Europa, désormais.
À Selhurst Park, ils ont rendu une copie très pauvre sous les yeux de Jean-Claude Blanc, l'ancien directeur général du Paris Saint-Germain, récemment nommé PDG par intérim du club le plus titré de Premier League.
Impuissants en attaque (deux tirs cadrés) en l'absence du capitaine Bruno Fernandes, ils ont surtout complètement sombré en défense, un secteur certes décimé par les blessures.
Tous les défenseurs centraux (Maguire, Varane, Lindelöf, Martinez, Kambwala) manquaient à l'appel, à l'exception du vétéran Jonny Evans, revenu lundi après un mois d'absence et associé au milieu défensif Casemiro.
Les deux hommes ont connu une soirée cauchemardesque face à Palace, une équipe en pleine forme (quatre victoires en cinq matches) et portée par des individualités de grand talent, notamment Michael Olise.
L'international Espoir français, né et élevé à Londres, a ouvert le score après avoir mis à terre Casemiro, contenu le retour de Kobbie Mainoo et profité d'un trou béant dans la défense (12e, 1-0). Il a récidivé d'une belle frappe enroulée après un ballon perdu par Casemiro (66e, 4-0).
Entre-temps, Jean-Philippe Mateta a effacé Evans, trop statique, et crucifié André Onana du gauche dans un angle fermé (40e, 2-0).
Le neuvième but marqué par le Français en onze matches disputés sous la direction d'Oliver Glasner, l'entraîneur autrichien nommé en février, a été suivi par celui de Tyrick Mitchell (58e, 3-0).
Il leur reste à affronter Arsenal, Newcastle et Brighton d'ici à la fin de saison, en plus de Manchester City en finale de la Coupe d'Angleterre, le 25 mai, peut-être leur meilleure chance d'accrocher la Ligue Europa, désormais.
À Selhurst Park, ils ont rendu une copie très pauvre sous les yeux de Jean-Claude Blanc, l'ancien directeur général du Paris Saint-Germain, récemment nommé PDG par intérim du club le plus titré de Premier League.
Impuissants en attaque (deux tirs cadrés) en l'absence du capitaine Bruno Fernandes, ils ont surtout complètement sombré en défense, un secteur certes décimé par les blessures.
Tous les défenseurs centraux (Maguire, Varane, Lindelöf, Martinez, Kambwala) manquaient à l'appel, à l'exception du vétéran Jonny Evans, revenu lundi après un mois d'absence et associé au milieu défensif Casemiro.
Les deux hommes ont connu une soirée cauchemardesque face à Palace, une équipe en pleine forme (quatre victoires en cinq matches) et portée par des individualités de grand talent, notamment Michael Olise.
L'international Espoir français, né et élevé à Londres, a ouvert le score après avoir mis à terre Casemiro, contenu le retour de Kobbie Mainoo et profité d'un trou béant dans la défense (12e, 1-0). Il a récidivé d'une belle frappe enroulée après un ballon perdu par Casemiro (66e, 4-0).
Entre-temps, Jean-Philippe Mateta a effacé Evans, trop statique, et crucifié André Onana du gauche dans un angle fermé (40e, 2-0).
Le neuvième but marqué par le Français en onze matches disputés sous la direction d'Oliver Glasner, l'entraîneur autrichien nommé en février, a été suivi par celui de Tyrick Mitchell (58e, 3-0).