Le président de la République doit évoquer les partenariats et le renforcement de la place de la Fifa en France, a dit mardi l'Elysée à l'AFP.
Selon Radio France, Gianni Infantino entend aussi mettre en garde Paris contre toute ingérence dans les affaires de la Fédération française de football (FFF). Le gouvernement s'est montré très offensif à l'égard du patron de la FFF Noël Le Graët jusqu'à sa mise en retrait après une longue crise.
Interrogée sur cette possibilité, la présidence a assuré que ce n'était pas la raison de la visite du patron de la Fifa. Mais si l'affaire est évoquée, Emmanuel Macron "rappellera qu'il est très attentif à l'indépendance du mouvement sportif, et qu'il n'entend pas s'interférer", a assuré son entourage.
La ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, tout en affirmant respecter "l'autonomie" des fédérations sportives, avait pesé de tout son poids en faveur de la mise en retrait de Noël Le Graët après une accumulation de polémiques.
Elle a notamment commandé une mission d'audit et de contrôle sur la FFF qui, selon le rapport provisoire bouclé fin janvier, s'est révélé accablant. Les propos à l'emporte-pièce du dirigeant du football français sur l'icône Zinédine Zidane et la diffusion d'un témoignage sur ses comportements sexistes ont précipité sa mise à l'écart, qui n'est toutefois pas définitive.
Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran avait aussi estimé, à l'issue d'un Conseil des ministres présidé par Emmanuel Macron, que le football français méritait "un président à la hauteur" qui diffuse "une bonne image" dans le monde.
Depuis, la situation s'est encore compliquée pour Noël Le Graët avec l'ouverture d'une enquête judiciaire pour harcèlement moral et sexuel, des accusations qu'il dément mais qui assombrissent ses velléités de retour.
La version définitive du rapport d'audit est attendue mercredi, ou la semaine suivante si Noël Le Graët obtient un report pour soigner sa défense.
Selon Radio France, Gianni Infantino entend aussi mettre en garde Paris contre toute ingérence dans les affaires de la Fédération française de football (FFF). Le gouvernement s'est montré très offensif à l'égard du patron de la FFF Noël Le Graët jusqu'à sa mise en retrait après une longue crise.
Interrogée sur cette possibilité, la présidence a assuré que ce n'était pas la raison de la visite du patron de la Fifa. Mais si l'affaire est évoquée, Emmanuel Macron "rappellera qu'il est très attentif à l'indépendance du mouvement sportif, et qu'il n'entend pas s'interférer", a assuré son entourage.
La ministre des Sports Amélie Oudéa-Castéra, tout en affirmant respecter "l'autonomie" des fédérations sportives, avait pesé de tout son poids en faveur de la mise en retrait de Noël Le Graët après une accumulation de polémiques.
Elle a notamment commandé une mission d'audit et de contrôle sur la FFF qui, selon le rapport provisoire bouclé fin janvier, s'est révélé accablant. Les propos à l'emporte-pièce du dirigeant du football français sur l'icône Zinédine Zidane et la diffusion d'un témoignage sur ses comportements sexistes ont précipité sa mise à l'écart, qui n'est toutefois pas définitive.
Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran avait aussi estimé, à l'issue d'un Conseil des ministres présidé par Emmanuel Macron, que le football français méritait "un président à la hauteur" qui diffuse "une bonne image" dans le monde.
Depuis, la situation s'est encore compliquée pour Noël Le Graët avec l'ouverture d'une enquête judiciaire pour harcèlement moral et sexuel, des accusations qu'il dément mais qui assombrissent ses velléités de retour.
La version définitive du rapport d'audit est attendue mercredi, ou la semaine suivante si Noël Le Graët obtient un report pour soigner sa défense.