À partir du 28 décembre, le Comptoir des mines Galerie accueille l'exposition "Lumière sur lumière" de l'artiste Sara Ouhaddou. Née en 1986 et naviguant entre la France et le Maroc, Sara explore, à travers son travail artistique polymorphe, les défis auxquels sont confrontés les artisans marocains, interrogeant l'art en tant qu'instrument de développement économique, social et culturel, notamment dans le monde arabe.
Dans cette exposition, Sara met en lumière la transformation de son héritage en juxtaposant les arts traditionnels marocains avec les codes de l'art contemporain. Elle offre ainsi une perspective unique sur des réalités culturelles souvent négligées. Sa démarche artistique va au-delà de la simple préservation des savoir-faire en péril, visant à les adapter et à les faire évoluer. Chaque œuvre devient ainsi une célébration de la collaboration patiente, une préservation créative des traditions menacées, éclairant le chemin vers un dialogue intemporel entre deux mondes en perpétuelle transformation.
Le travail de Sara Ouhaddou a rayonné dans des expositions d’envergure à travers le monde, parmi lesquelles : «Connectivité» au Mucem à Marseille, «La trilogie marocaine 1950-2020» curatée par Abdellah Karroum et Manuel Borja Villel au Musée national Reina Sofía à Madrid, «Qalqalah : plus d’une langue» curatée par Virginie Bobin et Victorine Grataloup à la Kunsthalle de Mulhouse et au CRAC de Sète, «Déracinement» au Z33 à Hasselt, «Manifesta 13» à Marseille, «Global(e) Résistance» curatée par Christine Macel, Alicia Knock et Yung Ma au Centre Pompidou à Paris, et «Notre monde brûle» curatée par Abdellah Karroum au Palais de Tokyo à Paris.
Dans cette exposition, Sara met en lumière la transformation de son héritage en juxtaposant les arts traditionnels marocains avec les codes de l'art contemporain. Elle offre ainsi une perspective unique sur des réalités culturelles souvent négligées. Sa démarche artistique va au-delà de la simple préservation des savoir-faire en péril, visant à les adapter et à les faire évoluer. Chaque œuvre devient ainsi une célébration de la collaboration patiente, une préservation créative des traditions menacées, éclairant le chemin vers un dialogue intemporel entre deux mondes en perpétuelle transformation.
Le travail de Sara Ouhaddou a rayonné dans des expositions d’envergure à travers le monde, parmi lesquelles : «Connectivité» au Mucem à Marseille, «La trilogie marocaine 1950-2020» curatée par Abdellah Karroum et Manuel Borja Villel au Musée national Reina Sofía à Madrid, «Qalqalah : plus d’une langue» curatée par Virginie Bobin et Victorine Grataloup à la Kunsthalle de Mulhouse et au CRAC de Sète, «Déracinement» au Z33 à Hasselt, «Manifesta 13» à Marseille, «Global(e) Résistance» curatée par Christine Macel, Alicia Knock et Yung Ma au Centre Pompidou à Paris, et «Notre monde brûle» curatée par Abdellah Karroum au Palais de Tokyo à Paris.
L'ODJ avec lematin