Dans un contexte où le cinéma marocain cherche à se positionner comme un acteur compétitif sur la scène internationale, cette nouvelle loi est perçue comme un levier stratégique. Selon la CMPF, elle offre un cadre juridique renouvelé, conçu pour structurer l’industrie et dynamiser la production locale tout en attirant des projets internationaux. Les membres de la Chambre ont exprimé leur satisfaction face à cette avancée, qu’ils considèrent comme une étape significative dans la transformation du paysage cinématographique marocain.
Le projet de loi n°18.23 est le fruit d’une collaboration étroite entre les autorités publiques et les professionnels du secteur. La CMPF a salué la qualité des concertations menées sous l’impulsion de Mohamed Mehdi Bensaïd, ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, et Abdelaziz Boujdayni, directeur du CCM. Ces échanges ont permis d’intégrer les préoccupations et suggestions des acteurs de l’industrie, garantissant ainsi une réforme adaptée aux réalités du terrain.
Au-delà de sa portée symbolique, cette loi répond à des enjeux concrets : encourager l’innovation, promouvoir la créativité et renforcer l’attractivité du Maroc comme destination privilégiée pour les tournages internationaux. Le pays, déjà apprécié pour ses paysages variés et sa richesse culturelle, bénéficie désormais d’un cadre légal solide pour attirer davantage de productions étrangères. Par ailleurs, la réforme met l’accent sur une meilleure gouvernance et une transparence accrue dans la gestion des ressources allouées au cinéma.
La CMPF s’engage pleinement à accompagner la mise en œuvre de cette législation. Elle ambitionne de lancer des initiatives concrètes pour garantir son application effective et atteindre les objectifs fixés. La Chambre appelle également les professionnels à maintenir une dynamique collective afin de faire prospérer une industrie cinématographique marocaine moderne, durable et compétitive.
En conclusion, cette réforme marque une nouvelle ère pour le cinéma marocain. Elle incarne une vision ambitieuse qui pourrait non seulement renforcer le rôle du secteur comme moteur culturel national mais aussi le positionner comme un acteur économique clé sur la scène internationale.
Le projet de loi n°18.23 est le fruit d’une collaboration étroite entre les autorités publiques et les professionnels du secteur. La CMPF a salué la qualité des concertations menées sous l’impulsion de Mohamed Mehdi Bensaïd, ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, et Abdelaziz Boujdayni, directeur du CCM. Ces échanges ont permis d’intégrer les préoccupations et suggestions des acteurs de l’industrie, garantissant ainsi une réforme adaptée aux réalités du terrain.
Au-delà de sa portée symbolique, cette loi répond à des enjeux concrets : encourager l’innovation, promouvoir la créativité et renforcer l’attractivité du Maroc comme destination privilégiée pour les tournages internationaux. Le pays, déjà apprécié pour ses paysages variés et sa richesse culturelle, bénéficie désormais d’un cadre légal solide pour attirer davantage de productions étrangères. Par ailleurs, la réforme met l’accent sur une meilleure gouvernance et une transparence accrue dans la gestion des ressources allouées au cinéma.
La CMPF s’engage pleinement à accompagner la mise en œuvre de cette législation. Elle ambitionne de lancer des initiatives concrètes pour garantir son application effective et atteindre les objectifs fixés. La Chambre appelle également les professionnels à maintenir une dynamique collective afin de faire prospérer une industrie cinématographique marocaine moderne, durable et compétitive.
En conclusion, cette réforme marque une nouvelle ère pour le cinéma marocain. Elle incarne une vision ambitieuse qui pourrait non seulement renforcer le rôle du secteur comme moteur culturel national mais aussi le positionner comme un acteur économique clé sur la scène internationale.